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Archive : samedi 25 juin 2016

Arcanes de la Traditon Commentaires fermés sur Cartographie des isoquantes de Marshall et Mobilité

Projet

 

Cartographie

des isoquantes de Marshall
et
mobilité

Dans le cadre d’une contrainte au regard des effectifs et d’une dispense au regard de la parité homme – femme, la question posée est réfléchir en globalité à une capacité d’intervention pouvant déboucher sur un plan de mobilité pluriannuel d’horizon 3 à 4 années, avec suivi de l’agent.

Les raisons de la mobilité sont souvent ambivalentes. Deux agents placés dans des situations similaires feront des choix de gestion opposés en fonction des critères qu’ils prendront en compte.

En parallèle de celle des isoquantes d’un dôme de production selon les théories de Marshall, une application de la cartographie de ses dernières à l’agent permettrait des repères adéquats au travers de déterminants en vue d’évaluer les différents cheminements qui s’offrent à son choix.

Au – delà de cette donnée – repères, la dimension essentielle à retenir est celle du capital humain. Elle se déploie à la fois en valeur ajoutée et en valeur d’impact. En présupposé, il semble qu’un agent ayant développé une série de cursus limitrophes au travers d’une trajectoire métier puisse en venir à traduire la propension d’activité qui en découle dans une verticalité fonctionnelle, dès l’instant où il prend conscience de cette possibilité. Le phénomène rejoint celui d’un Réfléchi dans la définition donnée par Teilhard de Chardin.

Pour répondre à la question posée, les pistes se situent dans une programmation potentielle des déterminants de la cartographie. Ainsi, en décalque du phénomène d’étendue subséquente suivi de celui de la réduction en une part adjacente, le nombre de tracés de mobilité se réduit en fonction des choix de programmation de l’agent pris en compte dans son suivi.

Au final, l’agent a toutefois le potentiel de se positionner sur « le tissage le plus dru » par les valeurs de « Réfléchi » ou bien de rechercher, une valeur ajoutée. Connaître comment il pose ses « valeurs » permet de gérer les possibles mise en diamétrale, au bénéfice autant de l’agent que de son employeur.

Le capital humain (I) développe des aspects de conscience au travers d’une valeur ajoutée dans un temps virtualisé où la part d’ingénierie à déployer sera encadrée par deux modélisations, l’une en apport participatif et l’autre en cursus sur un projet similaire.

ee e ee

Cet aspect est observable de façon groupée sur le quotidien de l’agent. Le déploiement est l’assurance d’établir des repères – remparts, en vue d’une valeur d’impact associée et extériorisée, tout en étant intégrée dans une réalité collective selon la définition des philosophes (partie 1-1).

La modélisation du capital humain demande de considérer à la fois le cheminement en vue d’une progression qui prennent en compte (1-2) la théorie de l’inversion masse et temps sur les espaces asymptotiques en tant qu’horizon événementiel ou bien espace-temps conçu en linéarité, le terme mathématique employé étant alors espace-temps « plat »

Toutefois, cette modélisation devient inhérente à l’émergence de repères capitalisables (II) par la gestion des temps relativisés (2-2) sur seuil de rentabilité et démarche d’en clone.

Cette présentation prend en compte un élément incontournable de définition de l’agent autour de l’idée de deux dômes ou collines de production dont les isoquantes symétriques se renvoient de l’une à l’autre.

A plan de l’agent, ce second dôme attenant est en priorité généalogique.

Ceci conduit à des approximations de composition des facteurs de production dans l’exemple des isoquantes, permettant binômes et des complémentaires propices à la parité, sujet adjacent à la mobilité. Toutefois, de façon plus modeste sur la fiche présentée, le suivi de l’agent demeure sur des repères existants (2-2) dont ceux de la cartographie.

1 le tissage du capital humain dans un espace-temps événementiel

1.1 Des théories d’inspiration appliquées aux situations du capital humain

1.1.1 Une schématisation syncrétique des données environnementales et événementielles :

En vue de schématiser le maillage d’un environnement, la présentation ci – dessous fait appel aux exemples de de l’espace-temps asymptotique et de la noosphère expliquant les conditions du « Réfléchi » de conscience en réalité collective.

L’agent a un choix maximum d’appréciation et de perspectives, au moment où se dégage, entre valeur ajoutée « en linéarité déployé » et réalité collective, une valeur adjacente proche du cursus. Selon les principes de Teilhard de Chardin au sujet de la capacité de conscience au travers de la noosphère, il faut se centrer, se décentrer puis se recentrer.

Les humains auraient une propension à « se resserrer » les uns sur les autres. Ceci créerait une densification de l’humanité équivalant à une densification de la noosphère, donc une intensification de la conscience et de l’inter connectivité. Cette densification progressive amène à un retournement de la conscience sur elle-même, phénomène que Teilhard appelle « le Réfléchi ».

Le fait de se centrer, correspondrait à un ballon qui entre dans un espace-temps asymptotique. Il « impacte » un point précis ; peut-être déjà rectangulaire plus que carré.

Comme indiqué en partie 2, un développement en subséquence correspond à une étendue événementielle automatisée et équilibrée à partir de valeurs premières, n’appartenant alors à aucune cotation, ou bien à celles considérées comme au-delà des maximaux concevables pour que le meilleur puisse s’implémenter.

La conception multidimensionnelle qui en émerge conduit à considérer qu’au moment de se décentrer, selon la théorie de Teilhard de Chardin relative à la noosphère, l’agent est traduit à la fois en fonction subséquente et adjacente. Son degré de choix étant maximal, c’est en autonomie qu’il recréera les conditions de son adhésion, tout comme un renouvellement de serment d’allégeance. Cependant, il peut aussi intégrer un mouvement diamétral sur un dôme approximatif qui réduira l’apport à celui qui l’a formé en quelque sorte.

Pour équilibrer ce phénomène de la maximisation de la production conduit à repartir d’une série plus construite pouvant être traduite en parallèle. Si l’agent arrive à reformuler son apport, la part non imbriquée lui revient en cursus.

L’intérêt d’amélioration vaut autant pour l’employeur que pour l’agent qui pourra à chaque traversée reconditionner « son groupe » en quinconce sur un tracé le menant aux conditions de suivi en impact « tracé » et « conduit », s’il conserve le maillage élaboré avec d’autres qui se déploient aussi en linéarité dans le même espace – temps plat

Ces notions font appel à deux thèses se rapportant à celles de la relativité qui semblent s’opposer : d’une part, celle de la métrique et de l’horizon des événements de Schwarzschild3 bâti sur des données asymptotiques, la définition étant « qui ne se rencontrent pas » ; et d’autre part, celle de la réalité collective (cf. Teilhard de Chardin), qui par la densification de l’espace témoignant du fonctionnement humain finit par mettre un lot d’individus sur le même fil de conscience.

La première acception permet d’obtenir un parallèle entre espace délégataire où se déploie une valeur ajoutée, par exemple, en savoir, savoir – faire, savoir – être et un champ de délégation obtenu sur l’horizon des événements.

Cette représentation rejoint celle de la cartographie des isoquantes4, soit des courbes retraçant, par niveau de production, toutes les combinaisons des facteurs (capital, travail, pour le principal), deux isoquantes ne pouvant se couper entre elle.

Dans cet espace virtualisé à l’agent, ce dernier développe au moins une « colline de production » la projection des isoquantes de façon linéaire se traduisant dans notre représentation par des « cartes essentielles ». Il demeure que la densification de l’activité fait intervenir des possibilités en germe développées dans un ailleurs.

Le concept de la réalité collective au travers des « rivets » d’asymptotiques représentant l’horizon événementiel par rapport à l’espace-temps « plat », composé de lignes, chacune figurant les isoquantes d’un même dôme de production.

Au plan de la conscience individuelle, l’espace-temps métrique asymptotique accueille des sphères isolées et atones qui chez d’autres personnes sont des rivets, comme autant de possibilités d’ajout par « en clonage ». L’en clonage, consiste en une duplication aménagée apte à développer le dôme de production et les isoquantes dans un autre espace-temps.

Dans la schématisation proposée, le rivet d’asymptote5 au travers du réfléchi en tant que miroir comme celui de la salle d’exercice de danse, permet une considération de décalque, copie ou création d’un mouvement donné, en inter échange, d’où la notion de réalité collective.

Ce terme demande de considérer une part de modélisation de l’activité.

Les modèles font appel à des notions de « pilote » et de « corrélateur » comme une rencontre, d’horizontalité et verticalité dans une coulée d’ingénierie « oblique » bornée par les aspects modélisateurs. La gestion de la dérivée se réalise donc de façon individuelle, par ajustement. Globalement chaque coulée. De ce type procure l’occasion d’une linéarité en espace-temps plat.

Globalement la linéarité des autres apparaît fermée tandis que la sienne s’y déploie. Un individu intègre l’en clone sur son espace-temps, le reste étant dans le vide qui a la même densification que la masse. La conjonction masse – temps entre espaces individuels finit par créer un dôme de production complet pour l’en clone composé de diverses strates réparties en passerelles interconnectées permettant l’adjonction du mot « lan » (local area network ou réseau local). L’idée de complémentarité stratifiée fait appel à ce processus.

Ainsi, la mobilité ne dépend pas que du seul individu auquel le poste peut être proposé.

Toute mobilité traduisant un nouveau système de répartition entre les facteurs de production engendre de nouvelles possibilités de dômes de productions déployées en « linéaire » établi par le groupe.

Dans la représentation syncrétique proposée, au travers d’apport participatif et de cursus, les valeurs de débouchés et d’impact correspondent aux lignes verticales. Le développement linéaire en horizontalité est affectable à la valeur ajoutée. « Le quadrillage » peut être ainsi réalisé à l’infini.

La densification constante et « prévisible » du « tapis » de délégataire(s) qui mêle ajout de dômes de production et superposition asymptotique aux rivets en vue de leur développement, aboutit à « l’horizon événementiel » propice à la réalité collective.

Le phénomène de mémorisation immédiate pour certains se conjugue à la virtualisation temporelle des souvenirs considérés comme « d’aujourd’hui » sur le rivet et sur du temps passé ou avenir pour d’autres, « en migration » d’unités de valeur. Il peut donc y avoir une détection événementielle favorable. Au travers du développement d’une valeur ajoutée, dans cet aspect « rétréci » à l’événementiel, face à l’impact, la programmation s’inspire de la planification accompagnant la conception première, au travers d’un plan d’objectifs qui s’enrichit des apports de l’inter-agir.

Autres exemples, l’enseigne construit ses parts de marchés au travers des produits développés à partir de ses brevets et marques. Tout « rivet » complémentaire peut asseoir une opportunité nouvelle de vente ou de valeurs. Les titres d’une entreprise sont véhiculés sur d’autres rivets selon le phénomène d’en clonage en complémentaire précisé ci – dessus. L’actionnariat salarial entérine un horizon événementiel plus globalisé. Enfin, les membres fondateurs sont à la fois le premier apport participatif passé ayant permis le développement de la production, mais aussi les premiers ayant projeté une planification de conception entrepreneuriale.

Les démarches en sous – traitance et filiales correspondent à des tracés de subséquentes ou d’adjacentes.

1.1.2 Certains moyens de la mobilité

La mobilité demande de traduire dans la schématisation proposée certaines potentialités de positionnement ainsi que de prendre en compte les facteurs masse et temps.

Ainsi, la conception « cartographique » notamment sur le concept de celle des isoquantes crée une superposition asymptotique de cartes « essentielles ». Plus le départ est écoconstruit et plus le système trouve le maillage adéquat pour que chacun conserve sa part d’autonomie dans une conduite événementielle concentrique

1.1.2.1 Retour et dérivée en vue d’un positionnement

Une dérivée caractérise l’écart marginal appliqué à chaque élément d’une série définie selon des critères particuliers regroupés dans le terme « fonction ».

Dès l’instant où un dôme de production se conçoit comme reflet de plusieurs espaces – temps complémentaires qui ont projeté de s’y agréger, une finalisation induit un mouvement de l’ensemble équivalent à la dérivée.

L’espace – temps individuel est introduit dans ce type de compilation, du fait du positionnement entre deux isoquantes, qui oblige à passer, par exemple de l’une à l’autre. L’impact amène soit à boucler sur le réfléchi original soit à continuer à chercher une progression.

Sans entrer dans les descriptions mathématiques, à chaque fin de ligne qui se finalise par un retour créant un horizon événementiel, il y a une capacité d’intégration de combinaisons différentes. Sur le cursus, l’idée est que l’ensemble des isoquantes contiennent des valeurs similaires qui permettent l’acquisition rapide d’une méthodologie visant à rassembler le plus grand nombre de combinaisons des facteurs possibles.

Afin de conserver un interagir constituant, l’aspect fonctionnel et d’impact est toujours en déplacement. Ce dernier peut être véhiculé par l’idée de cartable pour reprendre l’image du brexit, concaténation de « valise » et de « sortie ».

Tant que le cartable suit la ligne de l’horizon événementiel, il a un aspect managérial. Quand son « cartable » sort de l’espace jouxtant le « rivet », il est en « brexit » soit valise en sortie, pour prendre l’image employée pour l’Angleterre pouvant sortir de la communauté européenne. Il a la possibilité d’intégrer un autre espace – temps asymptotique et/ou un autre horizon événementiel.

La première illustration de cette démonstration est relative au praticien réflexif6. Un praticien réflexif est potentiellement capable de dégager sa représentation du Système Général par le développement d’une réflexion systématique, reproductible, évolutive et autonome pour agir et se transformer. Cette définition interroge cinq logiques de formation qui seront mises en parallèle de la façon suivante : 1- la structuration de la formation, initiatrice du départ de sa réflexion ; 2- l’unité du praticien et de la formation qui, en valeur ajoutée correspond à la prise sur soi des aspects de devenir ; 3- l’autonomisation de l’acteur qui devient l’inter-agir. Schématiquement, le développement professionnel et l’action s’intervertissent. En effet, l’inter-agir ne se conçoit pas sans l’agir en cheminement direct tout autant que l’unité de l’acteur et de son devenir conditionne le développement professionnel, l’espace « plat » prenant ainsi une forme circulaire, l’agir réflexif prenant toute son ampleur entre l’autonomie de l’acteur et la prise en compte « en conception », en développement professionnel « comme logique de formation ».

En prenant le contrat de travail en exemple, le contrat à durée indéterminée (CDI) correspond à la capacité de gérer la dérivée pour revenir sur le réfléchi même dans le cas d’un cursus potentiel, ce dernier étant développé au rythme du besoin de l’entreprise. Le contrat à durée déterminée (CDD) correspond à l’autre cas.

Chercher le cursus sans assurer de boucler sur le réfléchi peut être une tentation pour un CDI. Il s’agit de chercher un autre horizon événementiel sans pouvoir pérenniser sa linéarité considérée sur le même dôme de production même en données temporelles virtualisées. Sortir d’un dôme signifie ne plus avoir la capacité de la même bordure en apport participatif et donc un manque de continuité dans les fondements par rapport aux perspectives.

En prenant en postulat que les fonctions publiques peuvent plus facilement être d’un même dôme de production, la mobilité est la capacité à intégrer une nouvelle isoquante où la linéarité construite de l’agent peut s’imbriquer.

Une mobilité rapprochée induit une préparation des horizons événementiels sur mêmes « recherche » en valeur ajoutée et linéarité. Étendue et similarité sont sans doute des critères de concentration ou déconcentration. Décentraliser demande de considérer leurs effets en des répartitions de facteurs et de temps différenciés, par exemple.

1.1.2.2 Prise en compte des facteurs

Autant les facteurs : capital et travail sont pris en compte en production, autant le temps et la masse représentent les indicatifs en ressources humaines ainsi que pour les données de noosphère.

L’intensité capitalistique est le rapport entre la somme du besoin en fonds de roulements et des immobilisations brutes par le chiffre d’affaires. Elle peut aussi être calculée en prenant l’ensemble des capitaux stables divisés par les emplois permanents.

Plus une production demande d’immobilisations au sens comptable du terme (industries lourdes) et plus l’intensité capitalistique sera forte.

De ce fait, la substitution des facteurs de production suggérée par la combinaison des isoquantes d’un dôme de production telles que définies ci-dessus, s’en trouve altérée.

Moins il y a besoin d’industrie lourde et plus le capital peut correspondre à des données virtuelles en emploi.

De façon similaire, les valeurs de masse / agent physique et de temps / ETP se conjuguent pour offrir différentes possibilités de positionnement, avec, selon la théorie de l’espace – temps asymptotique, en données respectives d’inversion du temps et de la masse, l’EATP en masse et le poste en temps.

1.2 Caractéristiques particulières

1.2.1 En valeur ajoutée

La valeur d’impact semble conditionnée par la réalité collective et les modèles acquis et connus antérieurement, tandis que la valeur ajoutée se présente comme « éloignée ».

La valeur de « devenir » qui a déjà une valeur d’antériorité et qui porte les valeurs introductives va se substituer à ces dernières sans pour autant que cela soit immédiat pour les combinaisons permettant de les percevoir dans le dôme de production et la réalité collective.

La recherche d’une valeur ajoutée doit se satisfaire d’un tracé qui peut être artificiel en vue de son déployé, dès l’instant où un horizon événementiel est perceptible et que les éléments repères englobants permettent son utilisation conditionnée en temps et activité sur du long terme.

Ce tracé se détermine au travers de mesure traduites en séries statistiques utilisables. L’indicateur, toujours constitué de deux éléments repères qu’il lie entre eux en est l’exemple le plus révélateur.

A ce stade, le tracé est artificiel. Il peut conduire à l’invariance de ces mesures. Ceci est compensé par la possibilité de les assortir de similaires, associant englobance ou encore, selon les exemples présentés, intensité capitalistique faible et inversion des termes en vue d’une dynamique.

En repartant de ces éléments lors du « retour » vers le réfléchi, en fonction d’historiques concomitants acquis et conservés par le « brexit », un reflet compacte l’espace-temps « plat » pour faire émerger l’horizon événementiel, l’apport de la linéarité s’effectuant au travers de différents modèles empruntés ou complètement intégrés à la cartographie.

1.2.1.1 Une facilité de développement et de progression

Comme illustré dans l’exemple d’Albert Einstein, toute valeur ajoutée induit la demande d’obtention d’un tracé visant un impact particulier à atteindre, que d’autres ont déjà en perspective, sur le même parcours.

En prenant les repères de la schématisation proposée, elle correspond à l’implication dans un devenir. L’apport participatif lui fournit un maillage dense. Le passage d’une isoquante à l’autre, en définit les superstructures.

L’en clone y a un rôle. Il correspond à une valeur virtuelle d’impact destiné à doper la démarche d’acquisition de l’agent habituellement réalisée en cursus. Pour prendre l’exemple du stagiaire en formation, l’agent correspond alors à un autre ensemble des facteurs de production, « en en clone » donc à une autre isoquante de la cartographie.

L’obtention du déployé propice au retour sur le réfléchi demande un « réveil » du groupe de façon à virtualiser le dôme de production en tant qu’unité d’ensemble ce qui procure la « perception » d’un « globe » en prise de hauteur.

Bien que de caractère asymptotique entre les « rivets », la noosphère demande une « communion » au travers des modélisations qu’elle porte. Une écoconstruction intégrant immédiatement l’ensemble des critères de la linéarité et en effort tendu vers des maximaux permet de passer les caps difficiles en vue de l’englobance la plus pérenne possible.

Ainsi, la visée d’amélioration et de communion pour le plus grand nombre jouxte celle de transcendance. Les valeurs déontologiques portent l’expérience et l’espérance de la valeur ajoutée jusqu’à leur intégration en constitutionnel, au sommet de la hiérarchie des normes.

Plus l’agent travaille son ancien modèle acquis de façon linéaire en valeur ajoutée et plus il l’introduit en réalité collective dans l’horizon événementiel jusqu’à son inamovibilité.

Dans les tableaux ci-après, est présentée une décomposition des passages en temps matières ainsi que sur leur inversé. En prenant pour repère l’idée de marche à pied, le mouvement oscillatoire qui semble apparaître demanderait, au travers des ajouts d’isoquantes pour les uns des pas de côtés et pour les autres, des « sauts » (jumpings).

1.2.1.2 Un effort plus conséquent et une potentialité de mobilité de poste réduite

Cette idée d’amodiation interne quasi instantanée semble s’opposer à la notion d’autodidacte.

Même si la valeur de conscience peut s’en trouver améliorée, entrer dans une valeur ajoutée en espace-temps plat asymptotique « nouveau » correspond pour une part à accepter de devenir autodidacte Cet état temporaire, si limité soit-il, crée une impossibilité à utiliser ou même à retrouver les modèles de son tracé.

Le réfléchi semble extérieur et ancien. Ensuite, le brexit ne permet pas encore son reflet et donc une mémorisation construite sur le plus lointain historique nécessaire à la série d’indicateurs illustrés sur la ou les combinaisons de circuits mises en isoquantes. Entre les deux, la duplication des « nouveaux modèles » est inexistante.

Pour compenser, « la masse » est en apport participatif dont l’action est fortement ciblée sur l’activité immédiate. Le parcours temporel des modèles permet d’aider un individu par des déterminants travaillés en valeur ajoutée dans le passé qu’il peut imbriquer à ses propres ressources.

D’ailleurs, le « devenir » en entrée soutient les données à acquérir des nouveaux modèles du groupe constitutif de la réalité collective à intégrer.

Ceci dit, les modèles s’imbriquant, il y a nécessairement, selon un certain rythme, rencontre avec une recherche antérieure déjà traduite en événementiel. La valeur d’englobance qui décline la volonté de meilleure structure fait ensuite place à un aspect de mise en chaîne et de paternité des aspects de modélisation.

L’enseignement paraît être une écoconstruction disciplinaire permettant l’intégration et la traduction des divers espaces événementiels d’un enchaînement de modèles vers l’idéal.

Le déployé linéaire à imbriquer dans « leur » espace – temps asymptotique est à construire.

Intégrer dès le départ des valeurs-repères présentées selon les opportunités du tissu (économique, par exemple) dans un rapport similaire à celui entre un plan d’action bâti par la méthode synOpp7 (opportunités sur des strates de marchés complémentaires) et un plan prévisionnel d’entreprise crée un rempart non négligeable.

1.2.2 Spécificité de la présentation syncrétique :

1.2.2.1 Des postulats de base et des illustrations empruntées :

L’évolution s’applique à la production. Le postulat est qu’une valeur ajoutée permet à une isoquante de redevenir circulaire au travers du dôme de production. Cette illustration évite de chercher à trop introduire de données mathématiques pouvant s’appliquer au quadrillé de l’espace asymptotique, telles les quadratrices d’Hippias et de Dinostrate8. Ces dernières permettent, en effet, des calculs composés entre mouvement rectiligne linéaire et mouvement circulaire uniforme.

Sans chercher à démontrer les formules de dérivés, il est toutefois acceptable de concevoir que la conception d’un dôme de production par approximation et complémentaire présente un écart qui peut en relever.

Autres postulats, plus le brexit enrobe un dôme de production limitrophe concevant des historiques en base de données plus il permet la compilation des indicateurs de mesure des combinaisons asymptotiques, et plus il y a assurance de conserver le dôme de production sur lequel il dérive sans devoir revenir à l’espace « plat ».

En conservant la mémorisation de ces données, il peut traduire un « resserré » avec le « réfléchi » antérieur à sa préparation, qui, sur le « retour », est l’objectif « de boucle », d’autant que les « similaires » y ont traduit un « chevillé » sur des données comparables.

A titre d’illustration, la série d’indicateurs qui a permis le suivi sur historique de la valeur ajoutée est comparable à des critères de benchmarking9 destinés à constater sur un ensemble de domaine une périphérie commune.

Comme des bulles de savon, la réalité collective émanant des différents horizons événementiels, va traduire des temps relatifs de « (re)lecture ». Autrement formulé et adapté aux facteurs travail et équipement, l’ampleur de la valeur ajoutée et son implémentation dans les différents dômes de production est comparable à la mise à disposition de matériels en vue d’améliorer les rapports de facteurs de production.

Sans trop entrer dans les considérants économiques et pour illustration, la valeur du « reste » aux côtés du capital et des effectifs, (immobilisations, etc…) tient le rôle d’en clone et l’intensité capitalistique de la virtualisation potentielle du capital en tant que masse rapportée au travail valant pour le temps.

Autre exemple, la capacité à traduire une fonction globalité permet d’intégrer un horizon événementiel considéré en unité. Par exemple, le professeur, bien que pouvant avoir une discipline particulière à instruire est censé pouvoir gérer l’ensemble des classes au besoin.

1.2.2.2 Repères du positionnement

Cependant, tout n’est pas simple : lors de la sortie en brexit, compte tenu de la réalité collective, il peut y avoir ambivalence avec la valeur d’impact en cursus. L’agent peut se retrouver emporter dans les projets de ses confrères ou bien vice et versa.

Même si la valeur repère première a été calibrée pour que le développé de ces derniers s’établisse de façon différenciée elle demeure en « fluidité » similaire celle de l’intensité capitalistique10, la série des inversions pouvant les amener à se prévaloir du projet de cursus alors que la masse n’est pas encore convertie en masse virtuelle mêlée au temps (l’EATP, cf. tableau ci – dessous).

Par ailleurs, l’idée de « tissage » dans les définitions de Teilhard de Chardin, fait appel à l’environnement. Ainsi, l’organigramme comme les postes évolue entre missions et fonctions. Entre les deux, la limite est quelquefois difficile à percevoir. Par exemple, selon « l’agent », un poste de management peut être perçu comme valeur ajoutée ou comme une valeur d’impact.

« L’enrobage » d’un espace délégataire par un champ de délégation reflète la mise en cercle étendu entre le réfléchi et le brexit.

Tant qu’il y a capacité à adhérer à ce type de retour, le cursus nourrit le fonctionnel et la valeur ajoutée du temps.

Sur un ensemble de « quadrillé » il peut y avoir diverses compositions de ce type. L’apport participatif qui se conjugue à l’horizon événementiel crée sur le cursus en reflet des possibilités de « courtes échelles », les fonctionnels relatifs à une fonction représentative en multi-secteurs gérant espaces délégataires et champ de délégation.

Dans le cas de la mission, l’idée est de chercher la valeur ajoutée du « rivet » qui correspond à l’espace délégataire sans pour cela le démonter en espace-plat. L’inversion masse – temps conduit à l’étude des champs délégataires sur les temps relatifs que sont les secteurs fonctionnels, en décortiquant l’activité produite.

1.3 La représentation appliquée à l’agent :

La mobilité d’un agent en unité de valeur ajoutée doit tenir compte de ces déterminants. Il ne peut changer continuellement de devenir. Ainsi, il est tenu à un espace – temps déterminé.

Il n’intègre donc pas directement une linéarité construite entre deux isoquantes qui ne se rencontrent pas entre elles.

De ce fait, bâtir son système de valeur revient à ajouter son développement linéaire traduit en isoquante, comme si le fait d’avoir pensé à une appropriation construisait une combinaison des facteurs potentiellement différente même dans le cas d’une équivalence « quasi »- complète.

Toujours en utilisant une démonstration syncrétique, en mathématique quantique qui étudie notamment la relativité, l’observateur à un effet sur l’expérience.

 1.3.1 Le déroulé de la valeur ajoutée

Le tableau présenté définit les valeurs de temps et de masse ainsi que leur inversé. Au départ, la masse est sur le devenir laissant derrière elle, par inversion, le temps du poste virtualisé en ETP. Le déployé va correspondre à de la masse fictive EATP et l’impact sur le cursus, à du temps.

Phase -VA

1.3.2 La sortie d’une valeur ajoutée, valeur d’impact et horizon événementiel

Pour continuer les exemples présentés, la masse doit revenir sur le réfléchi enrichi du brexit, lui – même ayant la mémoire de l’ensemble du déroulé en base.

Lors de la mise en dôme de production de l’isoquante, représentée ci-dessous par le « globe ». Seul est conservable un temps-matière virtualisé : l’EATP. Le « resserré » à partir du dôme « attenant » enrobé par le brexit se définit en concaténation du cursus, les valeurs d’isoquantes et de modélisations étant reconnues. La valeur est en matière virtuelle, reflet du réfléchi.

Enfin, l’aspect circulaire de l’horizon événementiel demande l’intégration de l’impact sur cursus et de l’apport participatif en une valeur impactée, considérée aussi en EATP.

Globe1

La traduction du globe en réalité collective est un enrobage par un brexit de dôme de production « attenant ». Il s’agit alors d’un champ de délégation sur espace délégataire. Les valeurs temporelles en « pas de côté » donne un aspect similaire au réfléchi et au brexit qui, en espace inversé représente la matière et le champ de délégation sous l’espace délégataire porteur de la symbiose de la réalité collective par (re)lecture.

Pour le cursus en impact, soit en « verticalité », la masse occupe le champ de délégation et le temps l’espace délégataire qui peut être conservé sur l’horizon événementiel en fonction unifiée.

On perçoit bien la nécessité de pas de côté pour conserver des valeurs restreintes d’isoquante(s) et celle de jumping, les champs de délégation étant tous en quinconce d’un espace délégataire.

Une fois considéré l’enrobage des dômes de production attenants l’un par rapport à l’autre, le passage de l’espace-temps plat sur l’horizon événementiel libère le globe qui semble s’être déplacé. Sur cet espace, un effet d’osmose peut y révéler par inversion des espaces délégataires et champs de délégation, une nouvelle bulle d’horizon événementiel.

Ce phénomène de « flux » en chaîne crée une capacité de réalité collective étendue en strate et passerelles comme un réseau informatique. Il virtualise aussi la perception de « changement » d’espaces spatio- temporels.

1.3.3 Le phénomène de basculement inter dômes de production ou « là-bascul » :

Toute mobilité demande ainsi un basculement entre horizon événementiel constitué d’isoquantes de combinaisons similaires mais de dômes de production différents.

La représentation de la quadratrice d’Hippias, permet de penser que l’horizon événementiel se définit selon un groupe de valeurs que l’on peut traduire par isoquantes du dôme de production.

Cet ensemble de combinaison conduit à un étalonnage aux abords de l’horizon événementiel, favorisant le phénomène de dérivée, de brexit et donc de « là-bascul » inter dômes de production, an « ajout de certaines valeurs pour tenir compte de la différence d’un observateur à l’autre.

L’inter-agir conduit à traduire un similaire par une combinaison inversant les facteurs de production dans nos exemples pour l’ensemble le plus grand du dôme de production attenant. Cet ajout virtuel crée « l’enrobage ».

Cependant, pour revenir à l’exemple de la formation du praticien réflexif, l’évolution continue par une action et une conception de développement fondé sur la formation qui fait appel à l’initiation de l’entreprise soit la structure de la formation.

Ceci suscite une métacognition de l’agir qui crée un phénomène d’interactivité et stratégie combinant certaines isoquantes qui peuvent avoir une ressemblance avec d’autres sous – ensembles de dômes de production.

Comme indiqué supra, des remparts protègent la production d’une part, du dôme principal et de son attenant par l’utilisation, dans notre exemple, de la méthode SynOpp qui conjugue similaires inversés et recherche de parts de marchés comparables ; et d’autre part, celle des dômes dans lesquels « un sous-ensemble d’horizon événementiel peut être investi, au travers de la valeur d’impact traduisant la valeur ajoutée sur des données historiées communes.

Une stratégie de mobilité émerge de cet ensemble. Les combinaisons de facteurs appellent leur subsidiarité et La réalité collective au travers « de temps relatif » et « d’en clone » peuvent créer les conditions de malléabilité nécessaires.

2 Emergence de repères capitalisables et réalité collective dans le cadre de la mobilité

Après avoir concrétisé les étapes de la valeur ajoutée à partir de l’exemple d’Albert Einstein, notamment au cours de ses études et au tout début de sa vie professionnelle, En considérant chaque sous-ensemble en horizon événementiel, l’objectif du pilotage demande de déterminer quels sont les données à prendre en compte de façon à connaître la composition la plus rentable et le meilleur positionnement du brexit qui porte le déploiement de la conscience sur la réalité collective qui en découle, l’élément exogène étant les flux entre sous- ensembles d’isoquantes de nature similaire.

Pour reprendre les tableaux précédents, le temps correspond à l’espace délégataire et la masse se trouve sur le réfléchi conjugué au brexit.

Entre les deux la matière virtuelle en EATP est en horizon événementiel des dômes attenants ou bien en flux entre sous-ensembles d’isoquantes de dômes différenciés dans laquelle elle s’ajoute.

Tout sous-groupe d’isoquantes traduit un temps relatif de (re)lecture par « pas de côté » en espace délégataire, en exemple le bilan, le présent et les perspectives.

Non guidé dans ses choix, en flux, donc sur une part de (re)lecture temporelle par espace délégataire, après le réfléchi en retour du dôme de production attenant, le brexit se positionnera sur le sous-ensemble lui offrant le degré d’effort compatible en réalité collective avec ses perspectives.

L’utilisation des flux et donc des en clones virtuelles en (re)lecture « améliorée » est donc essentiel à un pilotage de la mobilité et des effectifs.

De façon à pouvoir garantir l’unicité de l’horizon événementiel du service, il s’agit d’utiliser le référentiel métier et les étapes de carrière en vue de leur organisation à court et moyen terme. En effet, le flux contient l’idée d’organisation immédiate en évolution.

Le pilotage de la mobilité devient celui des « brexit » au travers de ces « dimensions ».

2.1 L’illustration par un exemple

Les ensembles « Objectifs – moyens – résultats », « intrants – extrants – déterminants » ainsi que d’autres référentiels de classement aident à définir des espaces et à y dégager des valeurs essentielles.

Pour prendre la formation en exemple, ce domaine va se trouver intégrer à des données générales de valeur ajoutée tout autant que de valeur d’impact. L’une concerne l’apprentissage d’un type de métier sur des données de moyeu dans un espace où peut se traduire un autodidactisme et l’autre un trend de progression à partir d’une série de métiers perçus en débouché, plus en phase avec un aspect carriériste.

Le choix de l’agent d’être plus sur une caractéristique que sur l’autre dépend d’une part du bilan des postes précédents et d’autre part d’un devenir au contour flou qui peut sembler hors de propos.

Le référentiel commun aux deux grandes classifications reste sur le métier.

Les repères pris en compte peuvent aller jusqu’au projet – agent dont la valeur immersive peut engendrer des choix relativement dissonants pour la carrière mais à la valeur ajoutée forte ; ou bien au contraire témoigné d’une juxtaposition propice à des prises de fonctions de plus en plus élevées, la valeur d’impact, en sortie, poussant vers l’avant.

2.1.1 La valeur ajoutée acquise,

Le physicien Albert Einstein durant ses études et de début de sa carrière

En prenant en référence la carrière du physicien Albert Einstein, on peut noter un ensemble de phase en valeur ajoutée. L’idée est souvent celle d’un environnement atypique sur un ensemble disciplinaire tronqué mais favorisant un développement par des valeurs normatives, favorables à la concentration par immersion. Cette dernière s’accompagne d’une distorsion du temps et d’une préhension événementielle qui peut s’avérer perturbante. Tout ceci rejoint des caractéristiques d’autodidacte et est peu propice à l’intégration dans un milieu donné. Il y a souvent épingle à cheveux et reprise du projet dans des valeurs de loisirs.

Son projet démarre sur un aspect volontaire et tronqué. Il est fort en mathématique mais ne veut pas s’inscrire en biologie et sciences humaines. Alors qu’en 1895, il « décide » d’intégrer l’École polytechnique fédérale de Zurich (donc « sans préparation »), les examinateurs, ayant découvert son potentiel, l’incitent à continuer dans son projet… Il rejoint un environnement propice à la préparation en Suisse, pays de son géniteur. Les étudiants sont d’avantage incités à penser par eux-mêmes qu’à réciter les leçons apprises. Il réussit son examen d’entrée (1896, diplômé en 1900) mais est confronté à une situation moins favorable. Il approfondit ses connaissances en autodidacte et a du mal à travailler de façon « scolaire » (suivre les cours, prendre des notes etc…). Il sort du milieu universitaire pour rejoindre celui de l’Administration (1902, office des brevets). Il publie différents travaux en physique, ayant donc intégré la matière (1901, la capillarité). Il est le co-fondateur de l’académie Olympia, cercle de discussion se réunissant chez lui et organisant des balades en montagne.

2.1.2 La valeur d’impact

La carrière du physicien Albert Einstein

La valeur d’impact qui marque la fin de la valeur ajoutée est relative à un aspect disciplinaire pérenne dont les prémices se conjuguent avec les projets d’autres personnes. Il y a valeur de débouché plus ou moins lointain alors que pour les autres, il peut s’agir déjà de savoir-faire et de modélisation déjà intégrés, ce qui n’exclut pas de conjuguer ces données de valeur ajoutée sur une échelle de valeur d’impact.

Pour Albert, Einstein, ses travaux sur la relativité restreinte (1905, année particulièrement fructueuse) sont développés avec d’autres et lui permettent un doctorat (15/01/1906) au départ puis diverses distinctions dont celle de docteur honoris causa par l’université de Genève (1909), invitation au premier congrès de Solvay en Belgique (1911), une nomination à l’Académie des sciences de Prusse, celle de membre à l’académie royale des sciences et des lettres de Berlin, prix Nobel de physique (1921), celle de lauréat de la médaille Copley (1925), celle de président de la ligue des Droits de l’Homme, participation au 1er cour de l’université de Davos(1928), celle de la médaille Max-Planck (1929), prix Jules-Janssen (1931), celle de lauréat de la médaille Franklin (1935). Ils sont la base de sa thèse sur la relativité générale (1915 ; 1916 1er livre), lettre à Roosevelt et projet Manhattan (2/08/1939).

2.2 La mesure des valeurs de subsidiarité :

Les tâches habituelles correspondent aux charges fixes avec des ajouts de charges variables en fonction d’un surplus de travail et / ou de développement.

Les Ressources Humaines cherchent à ajuster le temps global tout en rentabilisant l’effort.

Qui dit réalité collective dit virtualité (spatio-)temporelle : En effet, si de multiples individus arrivent à concevoir un processus commun d’actions et d’approches d’activité, le temps devient une valeur flexible.

Il peut donc y avoir potentialité de positionnements multiples à partir d’une approche métier décrite à partir des déterminants annoncés ci-dessus.

En considérant un effet de seuil qui demanderait une implication temporelle exponentielle, il peut y avoir considération d’un gain de temps de façon à remettre l’agent, comme le praticien réflexif, sur sa linéarité et en valeur ajoutée conduite par apport interdisciplinaire plutôt que sur un « cartable », soit une fonction qui peut se gérer selon des processus automatisables.

Il peut être préférable de former l’agent à plus de valeur ajoutée en conservant et développant son expertise. Il peut ainsi y avoir effet de seuil et gain supérieur à l’équilibre.

SeuilRentab1

A l’inverse, si le poste attendu se situe sur une valeur d’effort moindre en fixe, le gain est directement accessible sur l’agent.

La conjugaison des espaces délégataires et champ de délégation dépendent des considérations immédiates.

Les données de masse, temps, leur virtualisation ainsi que les flux doivent pouvoir s’organiser presqu’indépendamment.
A certaines étapes, il semble nécessaire de rechercher les flux. Le positionnement à la suite d’une valeur ajoutée est de rechercher quelles correspondances d’horizons événementiels cela amène, sans forcer le réfléchi.

Par contre, avant d’entrer dans une valeur ajoutée, la jonction de l’impact en cursus et en apport participatif amène une dérivée stable à partir des flux qui deviennent concentriques.

L’agent, en portant un effort plus dense sur un temps moindre appelle une réalité collective plus importante prise dans le champ de délégation, sans pour autant revenir à la position en espace plat et en « globe ».

Sur le réfléchi, cela correspond à entourer l’espace délégataire des champs de délégation selon les tableaux ci – dessus. L’aspect d’ajout subséquent est prégnant.

La mobilité, comme l’ensemble de la carrière demande le suivi d’une réalité collective soumise à ces considérations.

De façon pragmatique, plus l’agent manifeste de capacités à réduire et surtout à disséquer le temps marginal des procédures et des rouages appliqués sur un ensemble fonctionnel et plus il peut rester sur le champ de délégation contenant des valeurs de modèles destinées à l’acquisition de la valeur ajoutée. Ce placement d’expert peut s’inverser sur l’horizon événementiel.

L’inversion dépend des flux qui s’y appliquent et donc des besoins d’inter connectivité des sous – ensembles de réalités collectives, en pouvant prendre en compte diverses réalités collectives virtualisables.

L’encadrant témoigne d’une capacité à réintégrer dans un seul horizon événementiel reconstruit, les valeurs de flux qui émanent des autres sous-ensembles d’isoquantes.

Ce faisant, la multiplicité de ces derniers – propice aussi à l’expertise – définit pour les uns autant de virtualité que de réduction de l’effort considéré et pour les autres autant de déclinaisons en réalité collective.

Les temps relatifs conservés sur les sous-ensembles d’isoquantes amènent à considérer la virtualisation de la matière. L’EATP reprend ainsi les valeurs libérées.

Pour les temps non garnis, une virtualisation par en clone peut être établie. En effet, sur le temps immédiat, quand la rentabilité s’accroît, le poste en cours dégage un nouveau temps complet au nouveau degré d’effort atteint en « virtuel » sur l’agent en poste.

Ceci est appréhendé au cours de reconstitution de carrière, par exemple.

2.2.2 L’en clone et la virtualisation – agent :

Que l’agent arrive à « rebondir » au travers des flux ou non, il y a nécessité de le considérer sur l’ensemble des horizons événementiels et donc de virtualiser une réalité collective en temporel, témoignant de sa masse.

L’en clone part donc d’un flux, ce dernier pouvant être sur une recherche de continuer une valeur ajoutée sur un autre espace – plat, de suivre la valeur d’impact en bordure en rencontrant des horizons événementiels selon les sous-ensemble d’isoquantes d’un même groupe de dômes de production attenants, ou bien d’accepter, justement, un flux.

L’exemple parallèle le plus parlant est celui de l’en clonage de la brebis Dolly.

Geniess était une brebis adulte qui a fourni un noyau ; Bélinda a donné un ovule qui lui a été transplanté de nouveau après une fusion par petite décharge électrique. A moins de 1% près, Dolly est le clone de Bélinda y compris sur l’âge, le vieillissement étant accéléré. Les expériences suivantes ont fait l’objet de manipulations « transgéniques » soit d’améliorations par micro-synthèse des données génétiques.

EnClone

Toute mobilité correspond à un changement d’au moins une isoquante :

  • dans le même ensemble, « éclairé » par le dôme de production attenant, soit en données subséquentes12 et en « (re)lecture » postérieure d’un autre poste – agent.

  • soit par l’application d’une dérivée maîtrisée de façon à conserver le même réfléchi dans l’ensemble des deux dômes de production. La représentation passe par un sous ensemble d’isoquantes sur espace étendu. Les données peuvent devenir « adjacentes » et la (re)lecture peut être contenir « les fruits de l’expérience », soit un décalque ou une copie événementielle.

Se pose la question suivante : au plan pratique participer à des fonctions de conseillers, de groupes de travail, etc., cela peut – il être considéré comme une mobilité, même si sur l’horizon événementiel d’application d’une mémoire continue, l’agent ne « change » pas ?

  • Soit il y a valeur de flux avec une dérivée moins maîtrisée et mobilité lointaine, les deux autres conditions pouvant se cumuler sur des sous – ensembles d’isoquantes équivalentes.

  • Soit il y a intégration de valeur de flux mais maîtrise de la dérivation et retour réel sur l’ensemble réfléchi, et dômes de production attenants. Les données sont circulaires.

Autre question : après avoir eu à effectuer une attribution particulière, par exemple un rapport en mission, revenir au poste, cela peut-il être considéré comme une mobilité même si la traduction de l’organigramme ne « change » pas ?

Il y a deux possibilités de progression qui se combinent : celle en poste – fonction et celle représentative d’une intégration d’une surface métier.

Indépendamment de la définition sur l’espace – temps, au moment de la mobilité, l’agent est guidé sur une valeur de flux. La question sera de connaître le projet d’effort de l’agent. Soit il priorisera sur la recherche d’attributions largement équivalentes, soit sur l’acquisition d’unités de valeurs métiers, soit sur des considérations plus personnelles comme le rapprochement des conjoints, domicile-travail, horaires et gardes des enfants, etc …

Les en clones permettent aussi d’autres situations. La valeur d’opportunités permet une reprise d’attributions inter – service, agents, etc. Par exemple, un service ayant changé d’organigramme peut avoir à appliquer ces notions entre passé et présent.

Il peut aussi y avoir cumul de temps virtuels qui finit par dégager une valeur d’opportunité permettant un nouveau poste ou un poste complémentaire.

Enfin, le transfert introduit la notion d’une reconnaissance d’acquis qui peut être utilisé directement sur le poste. « L’en clone concouriel » peut être cité à ce titre.

Dans ce cas, un agent étant toujours plus ou moins traduit a minima sur « l’horizon métrique » événementiel – entre espace-temps plat et horizon événementiel –, il est difficile de concevoir facilement sa mobilité, sauf à adapter son espace délégataire et à le transposer sur le poste receveur. Le transfert s’effectue, par flux, en priorité d’attributions à attributions, la définition des fonctions demandant un passage sur l’horizon des événements, même rapide.

Un système d’en clonage répond à une « mise en ligne » des valeurs de départ. Valeur d’opportunité et valeur ajoutée se conjuguent. La valeur d’impact appelle la valeur de transfert, la valeur de flux émergeant de cet ensemble.

Cette valeur de flux est l’attribut de la réalité collective au travers d’un fil événementiel conçu en fluidité qui est imbriqué et intégré dans l’espace où chaque traduit sa linéarité de base.

L’aspect transgénique imbriqué doit être dès lors un attribut introduit en amont et en globalité ; notamment en perspective et programmation du processus.

Dans la définition d’un changement de poste et d’attributions entre métiers à valeur ajoutée et métiers fonctionnels, il semble évident que sortir d’une valeur ajoutée qui contient souvent cas pratiques expérimentaux associés à une analyse étiologique – pour prendre la première ligne en exemple d’en clone – demande souvent de réajuster la partie strictement fonctionnelle par rapport à la règle des trois unités proches de celles réclamées par le théâtre classique donc unité de temps, de lieu, d’actions / de fonction.

Pour l’en clone, l’inversion de la masse sur le temps crée des conditions de déploiement plus fortes pour l’espace-temps plat. Les données fonctionnelles en noyau vont permettre de traduire une continuité matérielle au sortir de la valeur ajoutée globalement proche des données d’impact.

A l’inversion suivante rapprochée du processus qui peut correspondre à l’introduction de nouvelles valeurs ajoutées, la valeur ajoutée peut avoir la capacité de traduire en recherche d’amélioration l’apport des valeurs d’impact tandis que le flux se stabilise sur l’unicité temps, lieu, fonction, en cherchant le meilleur aspect organisationnel, managérial, d’ingénierie disciplinaire etc.

2.2.3 Quelques déterminants émergeants entre mobilité et projet – agent :

Cette possibilité de conjugaison en « base modélisée », en impact et en flux devrait pouvoir intervenir à tout moment.

Dans un système éco construit et guidé, ne pas avoir finalisé son déployé n’est donc pas un repère de l’unité de valeur de l’agent ni de sa capacité à changer de poste.

Toutefois, certaines perspectives particulières tenant au « projet – agent » contraignent la mobilité.

Sur la première partie de son développement, l’agent est mobile en fonction de l’environnement sur une programmation à plus ou moins long terme. Il répond aux mouvances « affectées » au travers d’une conjugaison masse – temps perçue en inversion. Ce faisant, la « fluidité d’impact » qui lui est demandée se perçoit comme plus ou moins extérieure au rectangle premier. Sur ce dernier bien des choses sont en devenir.

La considération de la densification de la noosphère provoque un déploiement des valeurs de linéarité selon les présentations indiquées pour le « praticien réflexif ».

Dès que sa part d’interagir permet une traduction extérieure au « moyeu ». L’agent est impliqué au travers de l’acquisition d’une autonomie dans l’action en inversion du développement professionnel.

Il est donc dans une position de « choix et de risques maximaux » le développement professionnel pouvant apparaître plus lointain que les présupposés en devenir ainsi que traduit en structure de formation.

La solution la meilleure est de pouvoir conserver les « plus » qui lui ont permis ce déploiement tout en les conjuguant au cursus qui se présente à l’extérieur tout en jouxtant encore la conception du développement professionnel.

La somme des résultats qui s’implémente demande le suivi d’une vision maximale de ce dernier : l’agent sera lancé » quand il sera perçu comme « prêt » par rapport à un ensemble d’éléments visant à maximiser les apports du « travail ».

Si la réalité collective implicite ne va pas assez loin dans son domaine, il va être confronté à une adhésion antérieure au parcours qui lui a été fixé.

Par ailleurs, avant de lui permettre une traduction adjacente sur l’horizon événementiel laissant derrière lui la linéarité qui se ferme, les données de subséquence demandent diverses conjugaisons en vue d’une continuité des travaux préparatoires qui seront effectués par les nouveaux « ballons » qui arrivent dans l’espace – temps, soit les agents qui cherchent à développer une valeur ajoutée linéaire.

La stabilité de l’ensemble demande de reconstituer les données en « tassant » le temps pour obtenir le plus de rendement possible avec un rendu immédiat attendu.

Les nouvelles valeurs de l’agent lui permettent de prendre de la hauteur par rapport à ces préalables et de présenter en extérieur une valeur pour produit « fini » mais non encore finalisée. Même si l’entrée dans l’espace – temps se crée à un degré de rendement plus fort que le départ de la linéarité précédente, la considération de l’effort d’implication entrepris en préparatoire va permettre à l’agent sortant une valorisation consciente plus rapide et plus fluide.

Cette fluidité temporelle le conduit à rechercher de nouvelles données en subséquence de façon à accroître la dimension événementielle selon une conjugaison des facteurs, par exemple de production.

Ces valeurs conduisent de façon temporaire la plupart du temps à n’être pas tout à fait lui – même ni un autre.

Cependant, pour les agents en entrée, ces ajouts sont perçus comme lointains tandis qu’une nouvelle valeur de développement s’annonce.

La recherche d’amélioration maximale – en économie, celle de la maximisation de la production – est le fondement d’une continuité et d’une coordination entre éléments préparatoires en vue d’une propulsion sur des modèles de progrès allant au – delà de la prise de conscience d’une acquisition.

Le déploiement de la linéarité est comparable à la mise en pré-area. Ainsi les nouvelles entrées font partie d’un environnement pérennisé.

Par exemple, sur des cursus d’écoles, « les promotions » permettent cette considération de recherche du meilleur en équipe.

Il s’agit souvent de s’intégrer dans ces dernières en recherchant le groupe d’isoquantes le plus proche en attenant donc avec une part généalogique et de rechercher un reflet sur le passé, toujours en dômes attenants.

Ces modalités conduisent à diverses options. Petit à petit la recherche de nouveaux dôme relatifs pour attenants cherchent une continuité réduisant l’approximation attenante. Ceci peut se répercuter sur d’autres éléments et d’autres dômes approximatifs du groupe qui chercheront, eux – aussi, à s’intégrer dans « l’arbre ».

Les coulées de modélisations en bordures de valeurs ajoutées sont souvent comparées à de l’intergénérationnel.

Il y a une propension en relatif à ce que les femmes traduisent des quinconces entre elles et les hommes de même. Ceci peut faire émerger des processifs du types du « double grand-père ».

2.2.3.1 Le « concevable » et le projet en devenir de l’agent :

Il y a nécessité au cours de la carrière de réaliser une unité de valeur ajoutée durant laquelle il est difficile de changer d’environnement, même dans le cas d’une éco- construction contenant les valeurs de moyeu (par exemple devenir, savoir, savoir – faire, savoir – être en déployé à l’intérieur de l’espace – temps), et donc la possibilité de gérer a minima un système d’isoquantes en dôme, ne serait-ce que temporaire.

Comme abordé au sujet de « l’en clone », la valeur ajoutée suit les rythmes d’enseignement, de développement et d’évolution tandis que les perspectives de poste se confrontent aux données d’étendue à acquérir, donc aux flux.

A l’abord de l’unité de valeur, sur l’apport participatif, la conjugaison de l’écoconstruction avec ce dernier crée l’illusion de se trouver sur la phase en sortie où l’apport se cumule à l’impact et où se forment en inverse espace délégataire et champ de délégation.

Toujours selon Teilhard de Chardin, bien qu’il faille se centrer pour se décentrer et se recentrer, la distance du déployé encore inexistant jusqu’à la valeur d’impact risque de créer, un effet de masse et de chaîne sur la réalité collective.

Cette dernière, incluse alors dans l’apport participatif réduit « le concevable » a priori sur un et un seul cursus au départ. Il en résulte soit trop de départ, soit pas assez.

A contrario, les valeurs de similarité en vue d’une réalité collective n’ont valeur qu’après le retour au réfléchi du brexit, parti du dôme de production attenant. A ce moment, il n’y a pas de prise en compte de déployé en retour ni de reflet dès l’instant où est « concevable » une équivalence entre sous – ensembles d’isoquantes sur dômes de production éloignés. Or, la valeur de transfert qui découle de celle d’impact et de cette introduction demande un flux inexistant au départ, sur ce « boutonnage ». Cette équivalence n’emporterait donc pas à coup sûr l’adhésion complète de l’agent.

2.2.3.2 Circulaire, diamétrale, subséquente et adjacente

« Time is money » (Benjamin Franklin) : tout travail peut se convertir en temps. Il se définit en valeur temporelle. Toute augmentation de capacités introduit donc une nouvelle étendue de temporalité.

Cette nouvelle étendue de temporalité se développe dans des données intégrant au moins en reflet des valeurs diamétrales. L’agent peut chercher à développer de nouveaux métiers. Il est alors introduit dans un nouveau groupe. Du fait de la réalité collective, l’événementiel de préparation sera repris par le groupe dans un effet subséquent jusqu’à ce que les contours de l’environnement soient déterminés comme suffisants.

De façon à traduire certains éléments masqués, des solutions intermédiaires peuvent peut-être être puisées dans la transdisciplinarité qui est inhérente à la valeur ajoutée. Tous les domaines interprètent La Tradition inhérente au phénomène de valeur ajoutée et de réalité collective associant le plus grand nombre.

La notion de multifonctions et multi-domaines permettrait donc de contrecarrer l’effet d’étendue trop subséquent. En effet, un exercice éco construit permet d’introduire, a priori, dans les dômes de production attenants, à l’inverse du système classique, les données de reflet qui seront recherchées en phase de mise en circulaire.

Le groupe va chercher à imbriquer la valeur la plus proche « du tout » qu’il a prévu. Elle va tenir le rôle de repère en vue de relancer l’événementiel prioritairement sur des tracés et cheminements de plus en plus normés et sur les valeurs maximales imbriquées et intégrées.

Si l’agent ne se retrouve pas dans « ce tout », entre choisir un temps d’autodidacte même très limité pour acquérir un nouveau domaine ou chercher à exploiter ses connaissances en impact, l’agent peut préférer une sortie en impact puis sur cursus et un poste en diamétral. Cependant, la question du manque d’apport participatif peut se poser comme indiqué supra.

L’agent peut avoir tendance à suivre « son projet » repris en horizon virtualisé sur d’autres « rivets porteurs » au lieu de rendre la possibilité d’acquisition qui lui a été donnée sur le domaine où il est inscrit.

Conserver des aspects de valeurs ajoutées en en clone et temps relatifs virtualisés correspond donc à une protection des capacités de définition de l’agent. La valeur ajoutée conduit à « cheviller » la base de l’agent.

Le chevron considéré est le guide du phénomène inverse de la subséquente, celle de l’adjacente qui demande une fusion partielle la linéarité de l’espace-temps plat, projetée, avec le dôme correspondant au rivet asymptotique.

La représentation de l’inclination de la droite sur le cercle fait émerger la notion de dérivée sur un environnement déterminé. La densification de l’espace – temps, la conjugaison des consciences crée un tracé de mise en symbiose les entités.

A ce stade du processus, l’agent est dans sa préparation. Cependant, au début de cette mise en réalité collective, des aspects contraignants peuvent lui demander de reconsidérer son horizon événementiel.

Tout dépendra, tout d’abord du style d’événementiel ; ensuite de sa certitude d’arriver à plus ou moins long terme à ce qu’il souhaite ; enfin des solutions applicables dans l’événementiel qu’il peut appréhender de façon à conserver sa complétude.

Si un de ces éléments est être réduit, il n’est pas assuré de pouvoir développer autant de marge de progression dans le domaine présent ou d’autres, sans en revenir à une valeur ajoutée. La conjugaison de la carrière est en facteur de ces moments de choix d’étendue et de similarité « circulaire », de tracé subséquent, diamétral ou adjacent.

2.3 Au plan pratique, des repères

Proche de certains éléments du système général, ce système permet d’appréhender la partie immergée de la relation travail – agent.

Cependant, pour que le système perdure, l’aspect fonctionnel nécessite de revenir à des données introduites dans les référentiels existants.

Les référentiels – métiers et les étapes carrières fournissent des repères, tels que précisés ci –dessous.

2.3.1 Des définitions prises dans les fiches des référentiels métiers pour traduire

Il s’agit de tirer quelques éléments déterminants accessibles de l’ensemble « du déployé ».

Les référentiels cherchent à classifier les métiers au travers de savoir, savoir – faire, savoir – être, d’évolutions et d’impact.

2.3.1.1 Un savoir – faire :

Durant la phase de développement de la valeur ajoutée, l’agent s’intériorise sur un « moyeu », ce qui donne lieu à des postes de même désignation. La mobilité est intégrée : il suit le poste.

« Sa complétude » n’est pas en cause et l’évolution des caractéristiques lui permettant de passer d’un savoir à un savoir-faire et à un savoir-être. La première ouverture est sur la métacognition de l’agir soit un approfondissement des rôles interactifs dans l’information et le savoir, de l’image, en tant que vouloir agir, d’un suivi culturel et d’une organisation en tant que « pouvoir agir ».

En effet, bien que présent, le « savoir d’équipe » n’est pas encore en partie émergée. Il n’y a pas encore subséquence même si l’aspect circulaire est ouvert en vue d’engranger des résultats. Ainsi, pour rejoindre son « Réfléchi » et y ajouter une somme de résultats, l’agent va devoir se positionner sur un espace ouvert que l’on peut citer comme perforé par rapport au tissage plein.

Aspects institutionnels et contractuels sont en déterminants. Le corps de métier est lacé pour être le plus proche du produit et de la production. L’utilité des autres éléments est peu perceptible soit celle des extrants (sous-ensemble du contrat, cahier des charges, voire extraits de la planification et du synOpp et organizational kultur) ainsi que les intrants (culture et suiveur, organisation, interactivité – stratégie).

2.3.1.2 Une entrée en modélisation pour l’apport disciplinaire,

Un essai de mise en phase permet de concevoir que l’ensemble de la mobilité intégrée peut être valable en partant de n’importe quel secteur, deux secteurs adjacents permettant une concentration sur données collectives de l’environnement. Des horizons imbriqués peuvent être utilisés en repères. La représentation peut prendre pour exemple production en immédiat, programmation en conception.

Le premier effort de réalité collective demande un cheminement intermittent tenu « en boussole » pour revenir au stade précédent, en vue d’activités produites, cette fois, en agir et programmées en interagir. En recherche de données subséquentes, les postes au contact avec le public peuvent avoir en sous-bassement ce mode de gestion.

La réalité collective provoque une mouvance d’adhésion avec l’extérieur qui intervient de diverses façons. Il y a organisation autour d’une modèle. Le rôle du corrélateur est de garantir les bordures de cette « coulée » de modélisation. L’organizational Kultur et le culturel sont les valeurs impactées pour la production tandis que le corps de métier et l’organisation en vue d’une diffusion magistrale sont celles de la programmation.

Ceci témoigne de la capacité de réalité collective autour du modèle que l’on peut désigner par roue-pilote.

Celui en corps de métier est un précédent. Le modèle culturel est un modèle d’avancée dans lequel on pourra se permettre un plus d’ingénierie.

La mise en circulaire va dépendre de l’apport participatif et du cursus plus masculin qui bordent la coulée d’ingénierie.

La réelle subséquence commence. Elle fait intervenir les données d’en clones comme autant de mises en « fraternité ». En effet, l’idée de la réalité collective témoigne d’une potentialité commune amenée par l’égalité de traitement et menant à une part plus grande de liberté et donc d’autonomie.

La complétude référencée comme « circulaire » tend à s’émousser. Des besoins d’interaction entre passé et à venir finissent dans une mouvance intégrée à un ensemble.

Les fossés qui se dégageraient pour la programmation sur l’agir et pour la production sur l’inter-agir (donc à partir de l’ancien modèle) vont permettre d’isoler un nouvel effort de valeur ajoutée.

2.3.1.3 Une entrée en modélisation institutionnelle pour le poste et le management

L’horizon événementiel s’acquière au travers de « l’homme en marche » entre ancien modèle et nouvelle coulée de modélisation.

Sur des repères subséquents, l’inter-agir permet d’ajouter à la valeur organisationnelle, pour conserver l’image, en « roue » de groupe, donc en similaire du tracé du corps de métier au corrélateur.

Au travers de sa programmation, il permet ainsi une modélisation institutionnelle.

La première perception de la valeur sur savoir d’équipe demande cet ensemble.

« L’homme en marche » gagne une valeur environnementale.

2.3.1.4 Un impact (attributions limites d’autres services)

En résumé pour représentation, il y a donc un apport participatif qui initie un devenir sur des données parcellaires mais immédiates. Son premier déployé de linéarité ajoute l’inter-agir, l’agir en réflexif et la conception avant d’en venir au cursus.

Après le moyeu, toujours sur le devenir, tandis que la densification inhérente à la noosphère (cf. supra) ajoute des apports subséquents comme autant de rivets appartenant à d’autres linéarités d’espaces – temps asymptotiques, l’agent commence à sortir de la structuration de la formation appliquée à son étude pour prendre l’exemple du praticien réflexif (cf. supra). Cependant il n’est pas encore considéré comme autonome dans sa réflexion et doit s’initier au travers d’autres penseurs. Ses engagements sont encore sur sa phase devenir comme semi-masqués par rapport à la réalité collective qui se construit.

Les projets environnementaux commencent à avoir de « l’impact » sur lui. L’agent peut dresser non seulement un bilan de son activité mais aussi l’intégrer dans une série antérieure historiée et conservée à part. Il peut aussi dresser des perspectives en reflet. Tout ceci peut l’amener à suivre le mouvement d’impact : il suit la chaîne d’enseignement, par exemple.

Cependant, pour vraiment avoir un rôle autonome, il lui faut arriver à interagir, ce qui, comme indiqué plus haut, ne se conçoit pas sans l’agir réflexif et la conception qui oriente le développement professionnel.

La logique de formation qu’il peut trouver à l’extérieur doit être réintroduite tout comme le brexit peut redevenir « cartable ».

Conserver, étendre ou pas la logique de formation demande à considérer la nature du poste et l’intérêt de l’agent à le tenir.

De nombreuses « approximations » peuvent prendre rang sur un tracé réintroduit en prototype sur les éléments du « Projet », entre deux dômes attenants entre eux.

D’une part, il faut considérer l’élément réintroduit du développement professionnel, commun avec ceux, attenants, l’un conceptuel et l’autre du devenir. Or face à l’action et l’autonomie du praticien, l’élément est théorique ; Il risque de favoriser le repli volontaire ou parce que l’agent se retrouvera sans écoconstruction porteuse.

D’autre part, s’ajoute à cet ensemble une autre « tige » relative au décliné de la planification et traduite en similarité par la méthode SynOpp. Ce résumé de planification est accessible à partir de l’apport participatif et du cursus, la structuration de la formation étant l’opposé du développement professionnel, les deux se présentant donc tête-bêche, dans les illustrations. Il est donc en sortie et défait l’écheveau.

La somme des résultats est intégrée à l’inter-agir. Elle dépend donc aussi de la stratégie et de l’interactivité appliquée en institutionnel. Un chemin intermédiaire joint donc les deux dans la linéarité, le panier d’apport marquant d’arrêt d’avancée à l’intérieur de cette dernière, à chaque moment institutionnel.

L’autonomie dans l’action aura un effet non négligeable sur la canalisation du « Projet », sa stabilité et sa pérennisation par apport conjoint des dômes attenants avec les autres.

Pour autre illustration, un poste pris en détachement sera d’autant plus construit qu’il pourra conserver les apports du précédent dans une continuité de filière. Cet ensemble permet aussi un développement plus fluide et donc une malléabilité des facteurs de production plus importante. Il est évident qu’une intensité capitalistique faible13 (valeur brute des immobilisations corporelles / effectifs) traduit une donnée de fluidité du travail forte. Plus les immobilisations sont concentrées, plus la force de travail peut être disséminée, tout en conservant les valeurs de continuité et de pérennité, plus il peut y avoir rentabilité des facteurs, sans chercher forcément des sous – traitants.

Dans le même domaine, un marché se construit par subséquente. L’isoquante qui permet la meilleure adaptation du marché à un moment donné peut retrouver les mêmes rapports avec d’autres sur un échelonnage d’étendue. Elle devient adjacente sur son développement.

2.3.2 Des idées en vue d’un panel de repères pratiques

Ci-dessous une fiche est proposée de façon à prendre en compte certains éléments à partir des référentiels métiers.

L’idée est de traduire :

  • La définition du poste en fonction métier emploi et priorisation, en prenant en compte les déterminants de ce dernier (fonction, métier, particularité du poste, traduction en emploi tenu selon les référentiels métiers, famille de métier(s) concerné(s), référentiel métier et famille priorisés, résumé du poste).

  • l’agent en « linéarité horizontale » :

    • soit les débouchés attendus en devenir (traduit en ligne), l’élément de savoir-faire clé en entrée de suivi (mobilité intégrée), en colonnes

    • l’entrée de modélisation au début du déployé et donc à l’effet de pré-aréa (mouvance d’adhésion et mouvance intégrée) ; en colonne. L’encadrement offre plus d’autonomie avec une action plus construite au regard du développement professionnel.

    • Les tendances et évolutions institutionnelles qui se réfèrent déjà aux flux

  • Là où commencerait son impact, en colonne:

  • Les données de l’horizon événementiel, en colonne :

    • Action principale signalée

    • Conditions particulières du poste, socle

Un historique des métiers et des postes tenus précédemment permettent de connaître le trajet de l’agent, en diamétrale, subséquente, adjacente ou circulaire.

Un exemple de fiche est présenté ci – après.

2.3.3 Des compléments à partir des rendez- vous périodiques avec l’agent pour cibler les flux et les conséquences du « projet –agent »

  • un suivi de l’agent à un rythme déterminé :

Ce rythme existe. IL s’agit des outils

  • au service de la carrière de l’agent :

  • l’accompagnement de la carrière des agents (entretiens de formation (si possible annuels) ; entretien de carrière (5 ans) ; bilan de carrière 15 ans ; bilan de compétences

  • La reconversion, la requalification des agents, période de professionnalisation

  • au service de la promotion interne (promotion professionnelle et académique) :

  • préparation examens, concours

  • dispositif VAE

  • dispositif RAEP

  • la formation personnelle des agents : congés de formation professionnelle

Fiche-carrière

Notes de bas de pages :

2 https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trique_de_Schwarzschild

« Rivet » fermé et ouvert : Perception de l’horizon selon la géométrie de l’espace-temps de Schwarzschild. La courbure croit avec la masse. Elle devient infinie uniquement au centre.

4 En projetant la colline de production dans l’espace des facteurs, on obtient une carte d’isoquantes.

DomeProd-ExterieurDomeProd-EspPlatIsoquante

5 L’étymologie d’asymptote est : qui ne se rencontre pas

6 Cf. formation des enseignants : vous avez dit « pratique réflexive ? », Yann Vacher, PRAG IUFM de Corse, Docteur en Sciences de l’Éducation, CORTE, Janvier 2013 ; https://probo.free.fr/textes_amis/formation_des_enseignants_pratique_reflexive_y_vacher.pdf