Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II

art.10

Nous préparer à l’évolution

1-Utile ou inutile ?, Le vécu préfiguratif ; expériences, langages

Les articles relatifs à Cruella d’Activity alias d’enfer, ont ouvert sur des comportements sociaux.
On perçoit que les « vegge-vegge » passent peut-être mieux que les « vego-an » le moment concurrentiel. Les raisons font partie de grands ensembles :
– la nécessité de conserver la mémoires des gènes passés de manière à devoir pallier à l’enracinement « physique » pour les plantes ;
– ne pas brider l’évolution qu’amènent les plantes vivaces. Au départ, il s’agit d’une fuite en avant pour éviter l’étouffement. ceci précède une prise en compte des gènes en fonction de l’environnement.
Le fait de « secouer le cocotier » est un avantage pour la plante qui peut avoir de jeunes pousses tout en conservant sa vitalité.
Mais le monde animal ne résorbe pas aussi bien les effets des moments à risque.
Les « vego-an » répondent à la vieillesse par le remplacement du plus fort et l’entrée de prédateurs pour les plus faibles.
Comment feront les « veggé-an » ? Le partage semble être la ligne de conduite. Le vent pour les plantes est remplacé par l’homme. On peut toujours critiquer les effets d’incarcération mais ils ont des côtés protecteurs.
Nombre de parcs aux grilles fermées sont l’occasion de voir croître à nouveau les espèces « protégées »

Le cirque est un moyen de se familiariser avec certains animaux.

Pour « nous », quelle expérience préfiguratrice ?

Si nous prenons le nouveau système Windows 10, il a une multitude de potentialités de nous permettre de retrouver nos fichiers en itinérance.
– le partage par les boxes,
– l’accès à distance
– le bureau à distance
– le « cloud »
– le logiciel spécifique
– le ftp
– le Bluetooth
– la wifi
– les supports USB, cartes, disques durs externes

– etc…

Sa nouvelle version Windows 10 ne passe plus par le groupement résidentiel : un « groupe » avec mot de passe permettait d’accéder aux éléments partagés au travers du circuit internet et/ou local.
Comment faire au plus simple :
– prendre l’adresse IP de Ipconfig que l’on a par l’écran d‘exécution : à l’appel de la commande « cmd », il faut entrer ipconfig pour finir la ligne de commande. Un descriptif apparaît.
– sur les autres systèmes que celui ci-après, plus « évolués » les notions de groupe, d’ensemble, de sécurité forment un tout. Décrypter le pourquoi des commandes n’est pas toujours choses aisées.
L’adresse IP fait donc l’objet de substitutions, (désignation de l’ordinateur, de la box avec définition de « rdp » en « Nas » et port 3389))
Les processus sont aussi variables : mot de passe du modem ou du routeur , du compte Windows : (combien faut-il en créer ? ) ; adresse IP ou adresse du partage du dossier que l’on trouve dans les propriétés de ce dernier ; utilisation de « l’autre écran » présentant la box, avec recherche angoissante de l’icône sécurité. Si la présentation la met en « wifi » que faire sur le « Lan » ?

Et voilà :

taper directement dans la barre de recherche à côté de l’icône de Cortana, après deux anti-slaches l’adresse IP de l’autre ordinateur.
Si les fichiers en partage, l’étaient : ils y apparaissent sans rien faire.
Sinon, la vidéo de Monsieur Saint-Aubin « partage de fichiers Windows 10 » indique tout le cheminement habituel à partir du dossier à partager, de ceux qui seront inclus dans le partage avec ou sans mot de passe !
Merci m’sieur !