Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II
art.7
De l’utilité incertaine mercantiliste à l’association en intelligence économique
Cruella s’explique:
devenir écologique et tendre vers veggé-an.
Lois Joane Lane Kent alias Mary Betsy Kane Lloyd – Graison a eu la chance d’interviewer Cruella d’Activity alias d’Enfer.
Une trilogie est proposée, les deux premiers entièrement consacrés aux réponses de Cruella d’Enfer (dte). Dans le premier article, Cruella bat sa coulpe. Le second traite de son implication dans la gestion des débordements plutôt du monde animal. Le troisième exprime la nécessité d’une nouvelle évolution tenant compte du système d’expansion végétal.
Cruella bat sa coulpe
3-Ice-I or The World ?, L’événementiel ; commerce, entreprise, langages, personnage, événement, les mondes
LJK : « Cruella, vous êtes une personnalité étrangère de Métropolis et de Gotham city. Vous avez bien voulu accepter ce cycle d’interviews. Vous êtes reconnue comme une excellente gestionnaire même si vos débuts ont fait couler beaucoup d’encres »
Cruella : « L’histoire des dalmatiens m’a fait du tort. Il est vrai que je n’étais pas prête.
Cependant, malgré mon ignorance, déjà à l’époque, j’ai fait un pas entre l’économie réelle et la finance. mon projet était d’éviter de noyer ou étrangler les chiots. »
LJK : « On oppose souvent comportement végétal à animal autour des caractéristiques vegge-vegge et vego-an. Comment vous situez -vous aujourd’hui ? »
Cruella : « L’expansion n’est possible que par la possibilité de dispersion. J’étais à la frontière entre vegoan vers vegge-vegge. Il faut arriver à allier les deux.
Je pensais avoir les moyens, ensuite, de revendre les chiots une fois leur poil repoussé. Je n’avais malheureusement pas tenu compte du système de poil ras qui ne peut se tondre.
Néanmoins, j’établissais un maillage sur un capital tourné sur l’écosystème. La 2ème phase de mon projet considérait la restriction des naissances par les moyens habituels proposés aux humains et aux chats. »
LjK : « vous êtes connue pour votre instinct d’utilité. Quelle expansion attendiez-vous ? »
Cruella : « Il semble évident que l’impératif de croissance rencontrait des ressources non renouvelables.
Les droits essentiels étaient érodés ainsi que le bien être. L’argent ne rencontrait pas l’orientation idoine pour influencer le système ou changer les choses du fait de ma méconnaissance.
Je me suis lancée sans connaître d’une part, comment donner un meilleur usage à la propriété et, d’autre part, les besoins sociaux réels face aux technologies.
J’étais en déconnexion systémique selon les travaux de Otto Scharmer, Katrin Kaufer et Peter Senge sur la théorie U.
Il y a eu plusieurs recherches sur l’utilité espérée. Elles insistent sur l’aspect psychologique.
Le graphique de la théorie U permet de situer l’aspect personnalité ; par exemple la mekva de Karl Jung en co – initier.
Il me manquait « l’écoute », à la fois factuelle et empathique. Mes collaborateurs d’alors m’ont donné l’occasion de co – observer les effets dans l’environnement proche et d’objectiver les refus essuyés.
Même si je ne l’ai pas marqué, mon affect a sans doute aidé de manière empathique à la délivrance des dalmatiens. Je co – percevais malgré moi.
Il fallait devenir « présente », atteindre un 4ème niveau de conscience, revenir au réel de la différence de l’écorchage et de la tonte ; et lâcher prise.
Les formations que j’ai suivies ensuite m’ont permis d’analyser mon « angle mort », « la partie cachée de l’iceberg ». Où était mon moteur ?
L’idée est celle de passer au travers du trou de l’aiguille. Une véritable révolution s’est alors révélée dans mon comportement. J’ai cherché à cristalliser cet engagement écologique que je m’efforçais de mieux comprendre. »
LJK : « quel est l’événement qui vous a permis de vous ressourcer ? »
Cruella : « Un jour j’ai trouvé une plume dans la rue et je me suis dite que pour moi, il s’agissait de me rattraper en créant des plumes synthétiques. Les oiseaux perdent leurs plumes mais on ne peut pas – non plus – les plumer. Cependant, un modèle permet de créer leur copie de synthèse. Les rouges-gorges et les mésanges ont apprécié et ont permis de se faire photographier au côté de notre contribution. Nous organisons depuis, des expositions et des remises officielles de la première plume synthétique en modèle.
L’image transmise autour de ce premier prototype considère des différences entre les mondes végétal, animal. L’idée est d’arriver à différencier des besoins, aussi au sein des espèces. Par exemple, les caniches se tondent.
Si nous prenons l’exemple des langues, « blanc » peut se traduire sur des formes à répartir en groupes. La proximité linguistique n’est pas forcément celle attendue : qui dirait que le tahitien prennent la même initiale que l’arabe ou le roumain ?
Il en est de même pour les espèces.
Une plante a des fruits pour disperser ses graines. La fleur en contient. Trancher la fleurs avant terme entre dans l’utilité espérée. Les fruits sont pelés etc.
La conformité à la nature des caractéristiques de l’espèce contraint une autre approche des choses.
La théorie U ramène l’incertitude au doute, au jugement et à la peur qu’il faut transformer.
L’émergence est l’égérie du projet, en tant qu’enfant de notre esprit, dans une propulsion collective.
Elle défie l’angle mort et perpétue le départ de suspension nécessaire dans l’environnement.
Les choses s’ajustent.
Ceci dit, gérer les finances a un côté cruel. Les choses ont-elles réellement changé depuis l’époque de Cicéron ?
Les travaux relatifs à la phénoménologie ont conclu en 1955 qu’il n’y avait pas de « justice spontanée » qu’il faut traduire par « pas d’autorégulation sociale ». Georges Canguilhem, directeur de thèse de Michel Foucault et ayant influencé aussi Pierre Bourdieu ajoutait « que ce fait expliquait le besoin du héros qu’éprouvent les sociétés ». Emmanuel Levinas parle alors de saint dans sa tendance religieuse soit le tzaddik le juste entre les justes, le plus « חכם » (intelligent [‘harham] ( אבן [a’van/Aban, voulant dire « pierre »), le plus rigoureux (mach’ mir (marh mir allemand, celui qui s’inquiète – de sa conduite dans les principes du texte sacré).
Aujourd’hui mon erreur est rééditée sous forme de films mon erreur. Il s’agit aussi de pourvoir à une prise de conscience. Le projet « Life environnement » mis en place par l’Europe sur le sujet écologique témoigne aussi de la volonté de réparer et prévenir les erreurs passées de l’humanité dans la gestion de l’univers.