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Archive : anticipation

La conversion de Cruella : Donner une utilité aux débordements naturels

Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II

art.8

Cruella s’explique:
devenir écologique et tendre vers veggé-an.

A la suite de l’article précédent (De l’utilité incertaine mercantiliste à l’association en intelligence économique, Cruella bat sa coulpe) d’une trilogie présentant une interview de Cruella d’Activity alias d’Enfer par Lois Joane Lane Kent alias Mary Betsy Kane Lloyd – Graison, le second présenté ci-dessous traite de son implication dans la gestion des débordements ; plutôt du monde animal …

 

Méduses

La conversion de Cruella : Donner une utilité aux débordements naturels

 

3-Ice-I or The World, The World (Le monde) ; anticipation, apprentissage, commerce, expérience, entreprise, les mondes, transcendance

 

JLK : «  Cruella, vous possédez maintenant une chaîne d’usine versée dans le synthétique. Comment l’idée première de créer des plumes synthétiques vous est – elle venue ? »

Cruella : « Lors de ma reconversion, l’idée de traducteur de langues rares a germé dans mon esprit mais ma réputation, confortée par des formations adéquates ainsi que mon prototype (réalisée à l’aide d’associations culturelles) ont aidé à des propositions.

L’expansion de l’échouage des méduses a été un élément déclencheur de la gestion de leur « nécromasse », leurs « cendres ».

JLK : «  vous cherchez à vous entourez d’avis. Comment pouvez – vous cerner votre part de marché ? »

Cruella : « Dans ce cas, avec beaucoup de circonvolutions, on m’indique comment on gère la naissance « des chats ».

Comme vous le savez, au départ les fourrures des super-prédateurs étaient pour moi la démonstration vego-an d’une « compréhension » dans sa définition pleine de communion.

Par exemple, en devenant le chef d’un clan , la reconnaissance d’un lion à une lionne en vient fréquemment à l’infanticide des lionceaux en acceptation de

Les super-prédateurs

la paternité précédente. « Il les refera ». On comprend que les mâles chassent les jeunes mâles qui forment ensuite des coalitions.

 

Les scientifiques affirment que le « lien » entre les mâles est très fort. Cela se présente comme une amphictyonie, soit une ligue à vocation sacrée.

Aujourd’hui, l’imbrication « vegge » a transformé ce moteur en un besoin d’équilibre comportemental dépendant d’une autorégulation et d’une auto-détermination. Pour moi, la prévention d’une surpopulation est très importante, notamment s’il y a perturbations potentielles de l’écosystème, par exemple par des déchets.

Pour les mammifères, par exemple, nous favorisons aujourd’hui les moyens contraceptifs.

Je mets tout en œuvre pour que l’écosystème réponde à une gestion saine et autonome. Ceci favorise une protection tenant compte des intérêts particuliers de chaque espèce.

La gestion des corps morts des méduses m’a donc été proposée. A part la turritopsis dohrni qui, après sa diffusion de gamètes, régresse en polypes. Elle n’envahit pas les côtes de sa nécromasse, La plupart des méduses vivent donc une année, mourant, en général, aussitôt leur reproduction assurée par la dispersion dans l’eau de leurs gamètes. Elles demeurent alors vénéneuses.

Cette démarche introduit une stratégie cognitive autour de la motivation.

Entourée maintenant d’avis dont celui de la SPA et des grands correspondants du monde animal, je pense mieux correspondre à l’attente d’un environnement propice à chaque créature de l’Univers.

Interrogés sur la résorption à la proximité immédiate des plages, , les principaux prédateurs des méduses ont effectué les réserves suivantes :

  • les albatros : « il y en a trop il faut se faire aider des thons avec un ban de sardines ».

On comprend leur revendication mais les thons à un mètre de la plage …

  • les otaries de parcs mariniers sont intervenues et ont informé qu’elles pouvaient déployer une capacité d’aide. Dans ce cas, il faudrait alors drainer le courant vers le parc, ce qui induit la comparaison du coût – qualité tenant compte du régime alimentaire « diversifier »qui leur est applicable.
  • mêlées aux albatros , les mouettes ont produit un avis malheureusement non perceptible.
  • Bien sur, nous avons les tortues luth et caouanne (dans certaines circonstances), le thon rouge, le poisson lune, l’espadon, les crustacés dont le homard ainsi que les étoiles de mer qui se fournissent plutôt dans le fond des masses aquatiques.
  • On est allé un peu plus loi. Géographiquement avec les manchots et sur les opportunités. Par exemple, le coucou n’a pas d’idée sur les méduses mais nous a indiqué sur un autre domaine que des nids synthétiques en sous-location n’était pas gênante.
  • Les humains en mangent, séchées, en brochettes, sous forme de salade, plutôt en Asie

Pour ma collaboratrice, Chiara d’Activité (dite), de caractère vegge-vegge, les recherches sur les aspects médicamenteux et esthétiques seraient un débouché : est-ce que les méduses aident à la fourniture de remèdes ?

Une plante permettrait l’épouillage de ses fruits. « l’embryon » détaché avant terme de la plante – donc non utilisable en tant que telle – en est un. Compte tenu des revendications existantes sur ce sujet, les méduses pourraient – elles remplacer les embryons dans les produits de beauté ? En effet, leurs mésoglées est très proche du collagène humain.

La constitution d’azote lors de leur décomposition permettrait – elle aussi le développement d’engrais ?

Pour mon industrie, je chercherais à valoriser la potentialité de création par exemple en tissu bionique synthétique. Elles sont composées de 95 à 98 % d’eau comme l’homme. En effet, je n’ai pas abandonné l’idée de la mise au point d’un poil synthétique de dalmatien qui répondent à nos attentes.

La fourrure synthétique rattrape les débordements passés.

Selon l’écoulement des éléments synthétiques, plumes, fourrures, nous pourrions organiser notre usine en fonction des parts de marchés.

L’atelier spécifique au débordement de la nature serait remonté occasionnellement et dimensionné.

Dans l’intervalle l’utilisation modulaire en vue de la création d’objets de synthèse réduirait le coût de la conservation de la filière par rapport à celui de la remonter sur existant.

Les hypothèses paraissent pouvoir tenir physiquement et financièrement. La connaissance des moments de débordements des espèces permet de calibrer la fabrication par rapport à l’extraction de la matière première et de l’offre.

A chaque cas naturel, un système ex nihilo : Le délai de recherche serait absorbé et la durée globale d’intervention réduite du fait de ces agencements.

JLK : « avez-vous une utopie ? »

Cruella : « Un rêve : pouvoir diplômer un modèle d’une plume d’alouette synthétique, pour faire mentir la chanson « alouette, alouette je te plumerai ».