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Du bœuf à « Pierre », un zélateur ?

SaintPierreDeBoeuf

Le Pilat évoque une définition de pierre.

Les armoiries de la commune de Saint Pierre de Bœuf, commune du massif du Pilat sont un poisson et une ancre.

Il y a une légende qui indique qu’un berger a retrouvé son bœuf agenouillé devant une statue représentant une vierge noire. Il est alors allé cherché le pêcheur, saumonier.

Le bœuf est un symbole fort dans toutes les religions.

Tous les rituels autour de la nourriture sont souvent de ne pas manger le sang, d’attendre 3 jours etc.

Il s’agit autant d’une préservation « hygiénique » que de la certitude que l’heure de la mort est bien venue.

De façon ésotérique, des idées autour de la métempsychose peuvent s’établir sur le passage de l’animal entre les mains d’un religieux , « docteur » de la loi, qui peut pratiquer aussi le baptême, la brith mila, soit l’entrée dans  « l’arche » d’alliance et les bénédictions aux humains.

Ainsi, les 7/8 éléments égyptiens avec « l’osshoun » désigné encore par le kenegd, le rapproché permettent de percevoir les dimensions de la personnalité et de l’âme du bà, l’âme fonction, à l’akh, l’âme préhensible du Soi, en passant par le kà, notre âme incarnée en devenir. (1)

Cette « hiérarchisation » de l’être fait apparaître que « l’Erreur », sa prévention et sa réparation sont inhérentes à la nécessité d’intégrer « le plus grand Soi universel ». (2)

Au final, une discipline de vie intègre forcément la prise en compte du rôle de chaque créature. (3)

1/ L’enchaînement Bà, Akh, Kà :

Toujours dans ma compréhension, le bà l’émanation type préon adhère au akh, l’âme dans tout « l’environnemental ».

Akh est partout, donc, dans tous les « somas ».

Quand l’akh se réduit au ba, il y a en général en subconscient besoin de se mettre de côté, de créer comme une double file de subconscient d’immédiat, cet apport en « nechama yetéra », une âme supplémentaire qui peut dépasser nos capacités de « là en conscient et mémorisé ».

Qui n’a pas rêvé au moins une fois d’un ou d’une ancêtre se relever d’un corps en disant : « ce n’est pas moi, c’est pépé etc .. ; ».

Le fait de refaire son émanation son « préon », son « bà » serait de donner cette nouvelle potentialité et donc à toute la matière dans laquelle elle se manifeste.

Le bà recouvre une inspiration et une volonté qui se traduit dans « une fonction activité ». Ceci est la définition de l’âme du « le moi-même », celui auquel on s’identifie en immédiat et que l’on mémorise.

En intermédiaire, entre « ce petit moi » et « le Soi » , il y a le reflet christique de la résurrection et/ou de la réincarnation (l’âme d’à venir / d’Avenir) traduite par kà.

Même si le préon est destiné à la matière, l’âme, le bà le préon est destinée à s’incarner par son adhésion à l’akh.

2/ L’idée d’incomplétude dépasse la réalisation de la structure de la personnalité :

La résurrection et la réincarnation utiliseraient donc l’akh comme transporteur.

Plus les 7/8 éléments égyptiens avec « l’osshoun » désigné encore par le kenegd, le rapproché , sont compris par l’être en structuré et plus la résurrection, la réincarnation susciteraient un réveil rapide.

Plus cette possibilité peut s’étendre et plus on peut créer un éveil de la matière dans des temps originels de l’univers.

Dans les traditions, ce départ correspond au tout en devenir, le premier cycle de  « grand départ ».

Il y a souvent sinon toujours une mention d’incomplet.

Par exemple pour le gan eden, le paradis terrestre, cette idée d’erreur de non attente pour manger du fruit de l’arbre de la Vie se traduit par une ambiguïté sur les corps animaux et humains et sur Samaël et Lilith dont Adam et Eve auraient pu représenter la paire de « copains programme » en kà ou mimmcha.

Quelque chose s’était-il inversé dans l’ordre de l’évolution ?

En effet, la perception de Samaël et Lilith «en tant qu’ange aurait du les faire intégrer la fonction de (keruv trad. Ange) mimmcha, tandis que l’akh égyptien pourrait se traduire par (keruv) chammaïm (les cieux).

Ainsi une « nouveau grand cycle », un cycle de grand départ même en ayant l’intime conviction d’être la réincarnation de tsaddikim (de saints), est soumis aux erreurs du passé originel : il y a des manques des erreurs de composition de responsabilité dont la solution appartient à « l’à venir » mais dont l’accomplissement est un effort quotidien.

3/ Le temps du « retour » :

Celui qui devient saint est peut-être celui qui se laisse aller à « pêcher » mais qui arrive à se redresser ?

Le temps de téchouvah, de retour sur le « le moi-même «  est aussi le temps du retour sur « le Soi » pour corriger ce que l’on a compromis en base et aller plus loin dans l’évolution dans le bien.

Il y a alors tri du pur et de l’impur : soit de ce que l’on doit faire au sens du bà transporté par l’akh.

Or, dans l’akh, il se peut que certains actions soient utiles et bénéfiques chez d’autres.

Il y a donc une sorte de restructuration de l’activité entre diverses personnes au sein de l’akh.

C’est ainsi qu’on peut dire de quelqu’un qui a fait techouvah « ce n’est pas lui qui a fait telle action. Cette action (est remise en ordre et) a appartenu à « un tel » dans telles conditions.

Puisque chacun doit retrouver le fonctionnement qui le rend pur, sur tous le temps chronologiques et tous les mondes jusqu’au lion qui paisse dans la prairie avec l’agneau, ceci veut dire que « la libération (du ciel) », la gueoula ne peut venir qu’à petits pas quels que soient les avatars.

En effet par le biais de la métempsychose et de techniques assimilées, la violence est traduite chez les animaux carnassiers sauvages comme le besoin instinctif de se nourrir.

Le fait de l’établir sur des animaux herbivores fait que le vice et versa apaise cet instinct de violence.

L’apôtre Pierre est le symbole de celui qui a toujours été là dans les premiers succès (miracles) de Jésus. Il est aussi celui qui l’a renié. Pour lui, Jésus était le symbole du « rocher », de l’akh des chrétiens. Jésus a fait de lui le symbole de leur mimmcha, le « à venir » de la communauté chrétienne et donc de sa paire de diffusion circuits programme en chacune des autres comme des milliers de rochers

Savoir si Jésus et Pierre participaient à la même personnalité est une question qui se pose.
Y avait-il un avantage pour la communauté chrétienne de traduire la venue de Samaël dans Adam au lieu du serpent par les événements entre ces deux hommes ?

D’abord les noces de Cana et la multiplication du vin  par Jésus, juste après être passé dans la maison familiale où Pierre réside avec son épouse nommée « Perpétue » soit encore « Porphyrée »  ; ensuite la marche sur l’eau ; et jusqu’à l’entrée de Pierre dans le tombeau le premier, l’apôtre ayant été le premier à le croiser ensuite alors qu’il n’était pas au pied de la croix.

La plupart des saints martyrisés sont connus pour avoir « dompté » le lion dans l’arène.

Cet apôtre cherchait notamment à transformer la violence dans la violence du zèle . Il était aussi pour « une pratique utile ».

Soyons donc des zélateurs, défenseurs de notre vie en témoignant de la qualité du bœuf que Saint Grégoire de Nysse identifie au juif qu’était Pierre l’apôtre, enchaîné par la Loi, l’âne de la crèche chrétienne étant la figure des gentils (cf. le bœuf et l’âne à la nativité du Christ de René Grousset)

 … « toi, n’oublie pas ton bœuf ? » ou encore de façon plus « moderne » : «  N’oublie pas ton jump, ne te trompe pas de mimmcha » … « Ne mets pas la charrue avant les bœufs ? »

Mais qu’est – ce que la statue de la vierge noire a bien pu représenter pour le bœuf de Saint Pierre de Bœuf durant ce cour instant …. de métempsychose ?