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Arcanes, Tradition et Economie sociale et solidaire

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  AngleDeSecteurDes problèmes pour traduire les arcanes de la Tradition ou du contrat Social ?

tableau Secteurs  (Cliquer sur les images pour avoir la totalité)

AnglesRonds=Globe                     Le morphème est un synonyme du patronyme de jeune. il conditionne  le rétréci et le dénoué. Cette « fixité » est un approximat pour le secteur « relatif » perpendiculaire qui contient « le cahier d’exercice ».

Le tangentiel et l’inter-crétage prennent l’initiale (inl/iehl) y compris en « homonymie synonymatique », par la génitrice de la paire des géniteurs. Le tangentiel sur le « dôme » de contour, donne différents parcours de mobilité.

 

AnglesRondsCôtésCroisés

Angles de secteurs (ronds), globe et la destination des côtés 1

 L’économie sociale et solidaire, avec l’économie circulaire aident à les résoudre

carte

Une méthode empirique représentative de l’aréa

La mobilité, la stabilité, l’endogamie, la parité sont autant de sujets autour de la chaîne d’activité conçue d’une part, par l’Homme et, d’autre part, par la Femme.

Différents travaux donnent des clés permettant d’en traduire les contours et la différence essentielle. L’Homme « obéit à une continuité successorale1 » que la Femme sert en tant que partenaire dans une diffusion informative de circuits structurés d’alliances pérennes.

L’erreur est sans doute de chercher à sectoriser les comportements, masculins en successorants et féminins en alliants, dans l’idée traditionnelle de l’homme, préparé à une extériorisation et à une présentation que la femme survole sans réellement la comprendre, d’autant qu’elle est plutôt sur des rôles considérés comme intérieur.

Cependant, confrontée à la nécessité de s’impliquer directement à l’extérieur, la démarche de la femme est de chercher à englober et à conserver, en amodiant par ajout, le savoir de base tandis que celle de l’homme est de se constituer un domaine lui permettant un troc de savoir.

La femme traduit ainsi une capacité de similarité englobante simultanée, pour concevoir un système conservateur des données d’alliances, là où l’homme, après avoir considérer « le sang » successoral » et « le rang » des members ship se positionne dans une situation de différenciation simultanée. Cette caractéristique permet à l’homme une dispersion en collaboration asynchrone en vue du recueil du maximum de possibilités d’action. Au moment du bilan pour plus de structure, il a tendance à restreindre les groupes là où du fait de la similarité simultanée, la femme a besoin d’ajouter pour différencier.

Au départ, cette capacité est complémentaire de celle de l’homme. Une synergie s’installe. Cependant, en fonction de l’avancée et d’une étendue des champs d’activité à acquérir, des données d’alliances ne peuvent constamment s’intégrer dans l’ensemble des circuits d’activité en réseau qui se vassalisent, cette vassalisation amenant à conforter et à progresser.

Le pouvoir de l’Homme est alors dans une capacité conceptrice et organisationnelle avec hauteur de vue, tandis que celui de la Femme se retrouve dans la valorisation des ajouts susceptibles d’aider à l’imbrication des valeurs périphériques du système organisationnel mis en place. L’aréa est pour la femme une continuité de son domaine, quand elle le traduit. Les données sont intégrées à son champ d’action et donc architecturées dans un cheminement d’appropriation personnel.

L’homme structure l’activité de façon méthodique pour avoir le plus de rapidité d’accès à « l’aréa », là où se trouve les members ship, « la team , l’équipe et les rôles à prendre qu’elle induit.

Tandis que lui recherche des carrés d’action, soit la stabilité des croisés d’aréa au travers des activités des membres ship. la femme reconnaît, à part, souvent à un secteur non intégré et imbriqué au plan global, la construction des croisés d’items relatifs à des matières disciplinaires.

En effet, du fait de sa capacité englobante en circuits d’activité, la femme ne cherche pas, de prime abord, à concevoir son domaine autour d’une activité englobante des autres. Ce sont les items qu’elle cherche à traduire de façon englobante pour les intégrer et les imbriquer comme les pièces d’un puzzle à n’importe quel champ. De ce fait, elle cherche plutôt celle qui l’amène à développer un savoir – être et des savoirs – faires. Ces activités sont dites de roues pleines et le savoir – être est de moyeu.

A cette correspondance vers un savoir-faire unique qui offre la possibilité « d’enroulés d’items » mais rompt la possibilité « d’enroulés vers ou à partir d’une activité implantée », s’ajoute un conditionnement par équivalence, qui traduit l’équipe (ship) sans recherche de positionnement entre les autres members ship, a priori.

Il s’agit de traduire des fondamentaux à partir de recherches récentes, dans une représentation des activités, théorisée ab initia, en carte, en tenant compte de leur structure et de leurs circuits. La structure conduit à orienter et les circuits à affiner le positionnement des members ship.

Le reproche envers la femme d’une satisfaction d’un rôle intérieur traduit en mineur se conçoit si l’on pense que l’activité englobante permet de mieux se situer sur l’aréa.

De façon à équilibrer le comportement féminin ou alliant au regard de la différenciation et collaboration asynchrone, la description des fondamentaux contient donc un élément de structure, l’activité englobante, à élaborer par les femmes dans les résumés d’activité en secteur. Il ne s’agit pas de se lancer directement sur sa définition mais de la corréler à l’ensemble de la représentation pour bien faire percevoir le domaine au travers de celles de savoir – être et de savoirs faires. L’idée dominante est de repérer avant de se lancer.

Les hommes sont tenus en échange de considérer la dispersion des items en vue de l’acquisition de nouveaux champs sur des tracés ou encore synapses selon l’expression de M Marcos Arruda rapporteur devant le fond social mondial en 2004. Ces tracés théorisés véhiculent les potentialités de similarité englobante externalisée.

Il y a bien une part vassalisée mais qui doit tenir compte des moyens d’apport des ressources, coordonné à l’ensemble.

Un effet du comportement masculin est ainsi aussi encadré. Du fait des « carrés d’action », sa recherche hors de son domaine subit un manque de flexibilité. En considérant que l’amodiation correspond à la recherche de la plus grande équivalence possible et que l’adaptation se retrouve dans un nouveau contexte, la similarité repérée sur les synapses crée des conditions d’amodiation à court terme là où la valeur des carrés d’action aurait nécessité des adaptations de long terme.

En effet, en cas de besoin, au lieu de rester sur les trajets et cheminements « en synapses », l’homme, sans l’apport amodiant féminin, a tendance à aller rechercher ce qu’il a conditionné comme complètement exogène.

Ceci est généré par les conditions de l’ouverture qui passe nécessairement par une contextualisation à long terme, un peu comme un couvercle du domaine intérieur.

soupière-BecVerseur1

La représentation de ces valeurs empiriques se situe dans un contexte sociologique et d’organisation stratégique visant à rejoindre « le contrat social ».

Les thèmes abordés seront présentés sous forme d’articles présentés sur cette page.

Vous trouverez quelques idées et schémas introductifs sur la page dans ma seille qui regroupe « dans ma seille …. » et « la pierre dans tous ses états » dont :

 « Moi, ça n’fait pas pareil … »

Du néolithique au numérique généalogiquement votre

D’un schéma à l’autre

Tant que Ce n’est pas de … l’aluminium

Au bas de la page, la table des matières rassemble les textes par articles en pdf, très bonne lecture.

1 De l’économie circulaire à l’économie solidaire : la soupière

En situant quatre grands secteurs de domaine, l’immédiat, le rythme, l’agir, l’inter agir et la conception, la capacité à s’ouvrir à d’autre activités commence par louverture de l’agir ci – dessous.

 soupière-BecVerseur  Au moment de ce repérage, la soupière est conçue fermée. Le bec verseur est vers l’interagir ainsi que la louche qui est l’élément pouvant traduire l’extériorisation. Les recettes et les ingrédients ne sont plus listés.

Le couvercle correspond à un lointain dont les repères sont normés. Il s’ouvre sur l’agir  soupière-Couvercle

OuvLointainCouvercle

soupière-AgirInteragir

La métacognition de l’agir, la réflexion sur l’agir amène à l’inter agir . La louche est conçue comme une préparation de synapse.

StationD'Epur

Il ne reste plus qu’à verser le potage dans les petits bols adéquats, la louche tournée sur la soupière

Soupière-PetitBol

Mais personne ne fait plus référence aux ingrédients qui ont donné le goût. Il peut même y avoir confusion. Qui pense à remettre le couvercle sur la soupière une fois la soupe servie ?

Cette analyse en vue du repérage, ne date pas d’hier et peut se retrouver entre les lignes de la Tradition.

La symbolique traditionnelle est rejointe par la symbolique de l’économie. La présentation souvent schématique du secteur agricole est une base de transcription. Toutefois, elle semble s’arrêter, comparativement, aux aspects de savoir, savoir – faire, savoir – être.

La traduction d’une nouvelle dimension représentative de neutralité comportementale est compatible avec l’imbrication de l’économie circulaire dans une économie solidaire. Cette dernière revêt aussi une dimension sociale, l’objet du « contrat social » demeurant l’arc boutant du système.

Par exemple, dans l’exemple de la station d’épuration qui est proposé pour traduire d’une part une activité englobante puisqu’elle arrose ensuite les activités agricoles par la constitution d’engrais, l’économie solidaire permet d’annexer d’autres types d’entrepreneurial, du fait du retraitement de matériaux.

Les boues y arrivent par un élévateur à la tuyauterie à circonférence variable. La possibilité du traitement du plus grand nombre de type de boue – donc le système le plus englobant en items – demande de considérer tout d’abord, les matériels existants sur le marché, et la paire (circonférence et filtre) à l’intérieur du processus de traitement. Ceci évite d’avoir à reconstruire d’autres stations d’épuration ou de laisser des boues non traitées. Le système entre les décanteur primaire et celui plus lointain de l’épaississeur de boues permet un calibrage (filtre – circonférence du tuyau).

La station d’épuration au regard des engrais est donc l’activité englobante des cycles relatifs à la description des besoins des plantes tels que les cycles de l’azote, du soufre et du potassium.

  • Les réserves azotées s’intériorisent : elles ont un cycle qui interagit avec la pluie et donc la formation des nuages : l’entreprise crée ;
  • le soufre amène la dispersion : le cycle de la production se défait ;
  • le phosphore fait appel à d’autres correspondances extérieures de l’éco système, avec les animaux et les minéraux, avec une part organique et une part inorganique : la fabrication du produit fait donc place au marketing d’une part sur la distribution et d’autre part sur les apports publicitaires ;
  • le cycle du potassium semble permettre la norme faisant émerger « l’image » de la plante en croissance : la marque y gagne une image.

Un des maîtres mots de l’économie sociale et solidaire : l’éco conception. Il s’agit de prévoir. Peut-être que l’éco conception est proche de l’assolement pour rester dans les exemples agricoles. Aussi nous parlerons d’éco construction pour en rester à des synapses en tant que cheminement sur existant. L’éco construction peut-être un élément assolé ou d’as-solage.

Les articles de cette page vont essayer de définir une représentation en carte(s) . Chaque carte délimitée par une lanière contient les items et les données englobées qui seront dupliquées sur les synapses.

Ces synapses doivent joindre plusieurs cartes de lanière avec situation des environnements internes d’ouverture et de retour.

La lanière est donc représentation des champs dits de jouxte. L’idée est de traduire dans une succession « connue » le plus de phénomènes équivalents et englobants jusqu’au moment où les croisés de synapses illustrent à l’extérieur, donc dans l’aréa, la déclinaison des englobants et équivalents appartenant aux représentants de cette succession et donc non intégrable par le phénomène d’équivalence dans la carte de lanière du domaine intériorisé.

En général, après le lointain et l’ouverture de l’agir, il y a donc un conditionnement interne entre agir et interagir avec l’idée de ce que l’on mettrait à long terme ;

Entre les deux, les activités sœurs, soit trop anciennes soit trop innovantes demandent des apports d’investissement, l’implication à long terme se faisant sur les données du lointain. Le lointain devient le couvercle de la soupière, la jonction avec l’extérieur.

Le progrès nécessite donc une acceptation successorale nécessitant de rester sur les englobants définis antérieurement ce qui n’empêche pas de trouver, au besoin, d’autres équivalents par le fait de l’éco construction qui prévoit la conservation du cheminement intériorisé par la carte.

La lanière devient la traduction des neurones qui concernent le domaine plus ou moins connus avant que le couvercle ne devienne l’interface.

Le bec verseur de la soupière et la louche permettent de diversifier les échanges avec l’extérieur.

Pour la station d’épuration, l’épaississeur de boues déverse ces dernières sur es autres activités, ce qui n’empêche pas la station de continuer à fonctionner et de calibrer.

La méthode empirique amène à présenter les fondamentaux (1-1) autour d’un nouveau contexte (1-2), entre rythme cerné de l’activité et ouverture de l’agir (1).

1.1 LES FONDAMENTAUX EN ECO CONSTRUCTION

Au travers les illustrations des divers éléments (1-1) peut être traduit sur quoi s’appliquent les valeurs intrinsèques (1-2).

Pour reprendre l’idée de l’introduction, comme en éco conception, la construction de la représentation doit contenir l’ensemble des perspectives en base.

En effet, si le positionnement intérieur en cours d’acquisition est négligé, il peut y avoir difficulté soit à l’intégrer soit à l‘imbriquer sur le parcours normé des synapses.

La tarification au coût moyen dans des structures intégrées peut être considérée comme l’ancêtre de cet effort de traduction en cheminement. Elle contient deux défauts :

  • Le premier est une conception monopolistique peu propice d’une part à la diversification, objet de la dispersion en collaboration asynchrone masculine et, d’autre part, aux ajouts équilibrant la similarité englobante simultanée féminine.
  • Le second est de rester sur des données échelonnées mais fragmentaires, malgré une organisation structurée a priori

Ceci peut gêner le repérage d’amodiés plus englobants et même faire confondre une valeur – intégrable ou déjà en cours d’intégration – avec un facteur exogène alors que l’effort d’économie d’échelle dans la logique d’un coût moyen (entre deux) peut se satisfaire d’un cheminement partiel en synapses entre deux secteurs intériorisés, Ce coût moyen ne peut être en appui d’un système considérant l’ensemble des quotités. Pour rester dans la comparaison, des emprunts à des systèmes extérieurs excentrés compléteraient les données du coût complet alors que des éléments sur les facteurs périphériques sont déjà connus. De ce fait, l’évaluation de la valeur serait faussée.

A contrario, toujours pour conserver l’idée d’exemples parallèles, l’amodiation englobante qui contient l’ensemble du trajet entre ces derniers pourrait être convertie à tort en adaptabilité par facteurs exogène. Pour l’assimiler au coût complet, il s’agit des cas où le coût moyen est considéré comme suffisant tout un pan de l’activité n’entrant pas dans la composante du coût complet.

Tout dépassement du coût moyen devient un épiphénomène et l’entreprise va restreindre son quota d’intervention. Cela revient à une structuration rigidifiée du marché elle se prive de la mesure des parts manquantes de ce dernier dans laquelle elle peut se développer. Or, la réflexion économique actuelle cherche à prioriser les efforts sur la satisfaction de la demande de ces parts (cf. les plans d’entreprise SynOpp infra)

La représentation globalisante doit donc prendre plus en compte l’effort structural de nouvelle contextualisation.

La figure 1 interprète l’entrée dans un nouveau contexte de pratiques professionnelles. En intériorité, cinq récits sont décomptés alors que trois pratiques professionnelles seulement sont destinées à un nouveau contexte.

L’ensemble nourrit des indicateurs1 de continuité. Entre les deux groupes, l’un itinérant et l’autre « assis », il y a deux barrières, l’une sur les contextes et l’autre sur les motivations.

La tenue des informations croisées par rapport à l’extérieur tient à « ces points de globalité », indicateurs généraux considérés dans une pérennité des domaines acquis ou à acquérir.

nveau contexte

Figure 1

La présentation de l’économie solidaire en 7 à 8 secteurs permet de compléter et de décrire le cycle de mise en contextualisation, regroupés en trois types le contexte de l’offre « assise » des acteurs économiques, la demande et les comportements des consommateurs motivés dans un contexte de préservation des ressources par un allongement de la durée d’usage, la gestion des déchets qui offre des possibilités de réutilisation :

Ecocirc

Figure 21

S’inspirant de ces exemples, la première partie des fondamentaux correspond à la carte elle – même et aux différents croisés, souvent objets d’amalgame et d’incompréhension.

La seconde partie permet de définie les valeurs intrinsèques dont la correspondance des invariants au regard de la carte de représentation d’une structure pour mise en aréa (figure 5).

1.1.1 Concevoir un système de représentation « immédiat  et parlant »

La représentation part de 10 caractéristiques en fonction d’un rythme d’activités (figure 3) contenant trois triangles : organisationnel, de production, d’impact.

Les quatre grands secteurs représentés sont attribués au contrat social, à l’économie sociale qui se décline dans les axes structurant l’économie solidaire qui la constitue, cette dernière intégrant l’économie circulaire.

On peut considérer des « mondes » associés : celui du rythme d’activité, celui de l’agir au travers de la métacognition, celui de l’interagir et de la conception.

De façon à assurer une correspondance élargie les items sont assimilés aux deux mains ainsi qu’aux éléments de la tradition kabbalistique. Chaque doigt est associé à un des « contenants » tandis que 4 mondes kabbalistiques peuvent être définis. Il s’agit de :

  •  Atsilout, le monde de l’émanation, la grande échelle qui correspond à celui du contrat social
  •  beryah, le monde des âmes, l’âme caractérisant la fonction, sur abah, trad. Père qui correspond à l’économie sociale et solidaire
  • yétsirah, le monde des anges, sur imah, trad. Mère qui correspond à l’économie solidaire
  • Assyah, le monde de l’action, avec la petite échelle et le perforé qui correspond à l’économie circulaire, plus immédiate.

Cette démarche « à l’envers », sur une base empirique partant du rythme et de l’immédiat au lieu de la conception, conserve l’écueil du pragmatisme au regard de la hauteur de vue. Elle a un avantage : les items qui seront définis et normés pour « concevoir » sont conservés dans une présentation analytique et normative qui permet, à terme d’introduire différents espaces cartographiés relayés entre eux par les synapses de l’aréa.

1.1.1.1 Les définitions

Il faut traduire deux démarches : celle de la stabilité de la carte et des emplacements ainsi que de la mouvance des items corrélés entre eux.

La carte part d’un rectangle en base auquel s’en ajoute un autre plus en losange, le tout étant entouré par une lanière délimitant le domaine intérieur.

L’évolution des espaces peut être mise en perspective. Quels que soient les mouvements d’ouverture et de fermeture, conjugués avec le passage des dimensions associées leur présentation est conservée, sans rupture.

Elle permet de lisser les effets comportementaux « homme – femme », notamment dans la traduction des différents types de croisés. La femme ne s’y intéresse pas de prime abord n’ayant pas toujours les définitions adéquates, prise par les items d’une activité unique quand l’homme apprend à introduire immédiatement des notions de groupes d’activité. Il les place, composant un espace « indirect ».

Pourtant la femme et l’homme utilisent les mêmes éléments certains, correspondant à des caractéristiques pérennes historiées. Elles sont l’assise de données de synthèse et de résumés.

Ces résumés se traduisent « par monde » en 8 secteurs équivalents. Pour reprendre l’idée d’angle, 8 angles de 45° font un cercle de 360°.

Pour conserver l’idée d’économie circulaire, ces angles de côté entre les rectangles et la lanière pourraient être désignés par « angle rond » quand ils sont affectés aux éléments d’activité et angles de secteurs quand ils représentent leur emplacement à l’équilibre sur la carte de représentation conventionnelle

Les angles ronds conservent une conception interne à l’identique équivalente à celle des angles de secteurs. Chacun est associé à l’angle droit à sa droite ne observant la carte.

Le déplacement d’un groupes d’items comprenant au moins un angle droit et un angle rond etc. s’effectuer dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Les données fixes de côté représentent le positionnement à l’équilibre de l’angle rond, de l’angle de lanière et de l’angle droit en mouvance selon le cheminement des caractéristiques raccordées entre elles.

Un angle droit en stabilité est dit angle de rectangle et son angle rond fixe pour le côté angle de secteur.

La lanière délimite le domaine rerpésenté. Elle contient des roues de lanières fixes dotées lors du déplacement d’item d’angles de lanières.

De façon concomitante on peut aussi indiquer des angles de rectangle de pic en lanière par rapport aux angles de pic des caractéristiques.

Tout comme la représentation permet de concevoir les synapses entre deux cartes, la « recherche de l’angle de rondeur », du globe » de celui de l’évolution de l’activité se conçoit de façon normée au travers de graphiques en relation avec la carte. Les angles de lanières au travers d’investissement finissent par avoir un impliqué de données équivalentes à un angle droit résumé par un angle rond.

Sur la composiiton interne comme précisé en introduction, ce qui a permis de décliner l’activité en données successorales est utilisé par les résumés à des démarches d’équivalence et de similairté avant tout, la déclinaison étant fixe et pérenne.

Pour une carte (figures 5), aux caractéristiques organisationnelles définies, chaque statut d’objet reste similaire. Il n’y a pas de changement d’état, donc de passage d’angle droit à angle de lanière ni à angle rond au cours de la pérégrination interne des pratiques.

Cependant, la destination des côtés de similarité des angles ronds dans leur emplacement en angle de secteur, donc à l’équilibre permet de concevoir 3 cartes complémentaires. Entre elles et la carte elle – même se profile la coulée d’aréa.

L’objet de ce moment est la mise en place d’indicateurs composés de deux repères fixes. Pour faire varier les indicateurs on en ajoute, l’historisation des séries statistiques traduisant au besoin un glissement compatible entre deux indicateurs.

Pour satisfaire l’éco construction théorisée recherchée, le processus consiste à introduire des items correspondant à des investissements et des implications sur les limites représentées sur la carte par « une lanière ». Au – delà de la lanière entre deux cartes, la définition de l’espace est celle d’aréa.

La lanière correspond aussi à la coulée d’aréa.

La carte elle – même reprend les times de la figure du rythme.

Certains angles qui sont présentés en superposition prennent leur place en angle de rectangle :

  • «l’institution » avec le contrat 
  • L’angle corps de métier est superposable avec celui de la stratégie interactivité. Sur la représentation en carte, l’angle droit de cet item occupe un espace jouxtant la limite désignée par le terme de lanière. C’est la zone d’entrée des nouvelles pratiques dans le contexte pour elle nouveau.

Le triangle de production contient ces deux éléments auquel s’ajoute celui de l’organizational kultur sur lequel se superpose celui de l’organisation.

Le produit, est un point « d’empan » (sur la tradition symbolique de la main, le pouce ; le gauche)intérieur de ce triangle. Sur la carte, il marque l’avant limite vers l’extérieur.

L’autre point d’empan correspond à la somme des résultats historiés, associé à l’impact. Le triangle correspondant se définit en inversé de celui de la production en partant de la même ligne devenue centrale et s’ajoutant à l’image.

A l’extrémité de cette dernière se trouve la culture sur le même axe central

Le rectangle « allongé » de l’illustration en carte contient les données d’organisation, d’image, de culture et de stratégie menée avec interactivité associée. Image, culture organisation sont sur la même ligne centrale de l’illustration du rythme (figure 4). Le rectangle allongé traduit les mondes à partir de l’agir, à la suite de celui de l’action plus directement corrélé au rythme.

Rythme1rythme2

Figure 3, le monde de l’action, du rythme aux résultats, en passant par le « perforé ».

Les schémas préliminaires à la carte, présentés figures 3 coïncident avec les notions d’intrants, d’extrants, de déterminants et de somme des résultats « en fixé ».

Ceci rejoint au plan de la représentation kabbalistique l’idée du monde d’assyah en tant que petite échelle et « le perforé » associé.

Moyeu

Figure 4 le moyeu et la roue pleine

carte

Figure 5, la carte d’ensemble de rectangles, délimitée par la lanière»

1.1.1.2 Angles de secteurs, angles ronds et globe

AngleDeSecteur

Figure 61, l’angle de secteur de base

Chaque angle de secteur commence par le morphème soit la plus petite caractéristique commune de l’ensemble que l’on veut définir ainsi que la référence historique du groupe. Les secteurs se remplissent ensuite des deux angles de secteur suivants en partant sur la droite dans le sens inverses des aiguilles d’une montre du secteur de l’immédiat (bas) ; d’un côté qui reprend un des deux repères de l’indicateur du premier secteur, l’angle de secteur restant, un indicateur assimilé (cf. les invariants), la définition de l’équivalence pour le groupe d’angle considéré.

AnglesRondsCôtésCroisésExemp-Rect3

Figure 7, le premier rectangle et les angles de secteurs

Les données historiées présentées comme dans le tableau ci-dessous permettent de mieux appréhender où les équivalents se trouvent et donc comment concevoir la similarité englobante.

tableau Secteurs

Figure 8, le tableau des séries historiées

Les similarités de côtés sont :

côté 1 du secteur de l’économie circulaire en valeurs historiées(V.H.) : P & CAS 7440-14-0, P et Phosph., soit P

côté 2 du secteur de l’économie solidaire, l’agir en V.H. : N & 15,5808eV , 15,5808eV et onde

côté 3 du secteur de la conception en V. H : S & CAS 7704-34-9, CAS 7704-34-9 et Nutriments

côté 4 du secteur de l’économie sociale et solidaire en V.H. : K & CAS 7444-09-7 ; K et plantes

On a l’idée de nutriments et de plante, le phosphore étant d’abord un aliment l’eau et le gaz complétant les réactions chimiques.

En cherchant à trouver ce que donne un angle de secteur résumé des 4 deux à deux, désigné par le terme « le globe », «  engrais » s’impose. Les deux coulées principales des séries historiées doivent se trouver en équivalence en concaténation directe. Elles aussi donnent engrais.

Le morphème qui sera repris dans l’enseigne correspond donc à une activité où des éléments chimiques permettent des nutriments pour et par les plantes. Pour réduire au maximum, différentes langues peuvent être utilisées, permettant des consonants ou semi – consonants. Comme indiqué précédemment, plus il y a d’équivalence et plus l’enseigne pourra produire des produits en marque phare.

AnglesRonds=Globe'2)

Figure 9, la destination des côtés et le morphème

Les croisés de secteurs, obtenus à partir des similaires des côtés permettent des cartographies normatives imbriquées et intégrées en spatio-temporel.

Par exemple, l’angle de secteur de l’agir est celui de l’angle de rectangle « le contrat ».

Le contrat est entre l’image en général d’un passé représentant un futur et placé en angle de pic de lanière et le lointain auquel il donne chair selon la figure présentée en introduction de cette partie. Le lointain est le couvercle de la soupière.

L’ouverture en perforé tend à traduire « par jump », en impact le côté dédié à l’interagir et à l’économie solidaire et sociale. Selon la similarité englobante, celui de la conception nourrit les déterminants du contrat et de l’institutionnel.

La traduction théorisée donne la figure suivante :

AnglesRondsCôtésCroisésExemp-REctKengdo+Mimcha

Figure 10, les croisés de « monde » par côté , le lointain et le proche

L’interagir est le mimcha de l’agir avec une représentation complétée :

AnglesRondsCôtésCroisés+Agir&InterAgirAnglesRondsCôtésCroisésExemp-REctAgir&InterAgire

Figure 11, les croisés de « monde » par côté, l’ajout de l’agir et de l’interagir

Tout ceci conduit à établir des fiches normées sur ce modèle :

PlacementDesAngles

Figure 12, la fiche normé d’assyah, petite échelle et perforé.

Ainsi, dans un domaine de lanière il faut ternir compte de 4 cartes qui donnent l’idée d’un serviteur, plat à étages amovibles.plateau

1.1.2 Les valeurs intrinsèques

Une entreprise ne « naît » pas de rien. Selon ce qui précède le cheminement est réalisé en amont par des membres fondateurs.

Les synapses permettant l’assise de binômes, des neurones pour conserver l’exemple comparatif correspondraient à la notion de trajet et de cheminement de l’activité. Ce terme serait compris en tant que courroie de transmission pour recréer des moyens d’échanges asynchrones que demande une activité en « aréa ».

A côté de l’introduction de nouveaux contextes, il s’agit de considérer des données d’équivalence immédiate par la structure des repères fondateurs, la marque, le brevet ou le produit qui découlent de l’enseigne, cette dernière contenant le morphème, défini comme précédemment.

Ce morphème premier caractère de l’entreprise a inspiré et inspirera au travers de l’ensemble des nouveaux contextes l’activité première de l’organisme entrepreneur.

1.1.2.1 Les invariants, Les valeurs d’entrée dans le nouveau contexte, un extrait du plan d’entreprise1

Ces valeurs d’entrée correspondent déjà à des équivalents anciens au travers des membres fondateurs. Elles permettent de lever le doute sur les quelques écarts de définition pour traduire, par exemple, le morphème par exemple et les équivalents.

Ces valeurs historiées sont intégrées dans le plan d’entreprise de façon pérenne. Chaque nouveau contexte est l’occasion de reprendre le plan et de garantir la pérennité du morphème et des similarités.

Les membres fondateurs ont aussi, dans ce plan réfléchi, aux valeurs à considérer dans le futur. Au travers de cette pérennité originelle, elles revêtent le caractère d’invariants et sécurisent ainsi le réseau d’entreprises et donc l’aréa et les members ship.

  • Les parts de marché dédiées et affectées selon l’enseigne et la marque,

Aucun nouveau contexte ne peut se concevoir sans une définition de la part de marché2 que l’on veut impacter.

Ce suivi est assuré sur l’enseigne de l’entreprise en tant que « plus petite caractéristique originelle (morphème) à l’échelle du marché dédié ». L’enseigne et le marché forme donc un groupe englobant dans lequel vont se définir les parts de marché des productions de l’entreprise.

Le marché et le plan sont similaires de la circonférence de la tuyauterie de la station d’épuration et des filtres dont le détecteurs de boues permet de repérer le calibrage.

Pour traduire la stratégie qui en émane, le plan d’entreprise s’appuie sur trois groupes de repères :

  • La planification stratégique et le mix marketing

Le plan s’appuie au travers d’un premier groupe désignée par planification stratégique, sur les points clés (1), la genèse et le contexte (2) et la stratégie marketing et commerciale (6), donc les analyses de marchés (4). Pour une entreprise donnée, cette planification stratégique est pérennisée. Tout projet demande de repartir de ses éléments fondateurs et donc du groupe englobant « enseigne-marché dédié ».

L’indicateur de planification stratégique doit tenir compte de la mesure des enjeux des membres fondateurs, la recherche d’une priorisation restant directement corrélée à ces derniers, quels que soient les environnements ou même les champs d’activité, pris en compte dans le mix marketing3..

En effet, le marketing est à la fois à l’origine de la création du contexte, à partir des analyses de marchés mais n’intervient qu’après la conception et la production.

Cette fonction impacte directement l’Agir, le rectangle allongé sur la carte de représentation conventionnelle par la stratégie d’entreprise(s) et l’interactivité.

  • La planification environnementale reprend les données des produits et services offerts, des moyens et organisation

Un nouvel équivalent de l’enseigne pourra devenir la marque globale de l’entreprise aux repères plus immersifs dans le nouvel environnement.

En général, c’est elle qui suscite de concevoir un sous – domaine de l’enseigne pour le nouveau produit phare.

Sur contexte nouveau, même si la marque est choisie comme valeur de morphème en équivalence à l’enseigne, la valeur entrepreneuriale nécessite d’y adjoindre cette dernière.

Le choix de passer sous silence l’enseigne n’est pas neutre et doit être motivé, garanti et limité le plus possible notamment dans une zone spatiotemporelle restreinte.

Revenir aux attributs de l’enseigne assure, en effet à côté des produits nouveaux, une mémoire statistique et un développement commercial plus aisé pour l’ensemble de la production.

Ce groupe procure le moyen d’ajouter des variantes de façon à cerner les données de l’environnement, lieu, monnaie d’échange, langue, etc …

La planification d’entreprise peut contenir une extension non intégrée mais prévisible en fonction de ce type d’item.

Après une phase de départ et d’activité opérationnelle, il est nécessaire de revenir aux éléments de base de la planification stratégique dont en (extension opérationnelle + 1).

Compte tenu, que l’angle de secteur d’immédiat devient dans les croisés de côté un déterminant, il peut procurer l’occasion d’un équivalent au travers de la marque et du produit qui seront axés sur ces avaleurs environnementales. Ces dernières sont intégrées aussi au plan et permettent sa juxtaposition.

  • Des références comparatives et de sectorisation

Elles sont utilisées par exemple pour différencier les activités lucratives et non lucratives au regard des taxes : la mise en œuvre de la sectorisation sera à privilégier, après étude de la situation locale avec les conseils comptables et fiscaux, par rapport à une filialisation de l’activité lucrative1.

Ceci renvoie à des possibilités d’assimilation et de différenciation avec l’extérieur.

La statistique historiée en suite longue contient non seulement des valeurs mais des facteurs externes à titre comparatif. Elle peut permettre l’établissement de fourchettes utilisable dans la construction du nouveau contexte.

En effet, ce dernier demande un écart conventionnel indélébile – intégré ou à atteindre – de façon à situer les pratiques entre elles dans le plan d’affaires. Cette dernière valeur est souvent dénigrée. Elle correspond :

  • Soit et souvent à un manque de présence de l’entrepreneur sur le terrain, du fait même d’un fonctionnement ayant omis d’établir un plan d’entreprise sur plusieurs générations de produits ;
  • Soit à un laisser – faire s’appuyant sur ce manque constant.

Des recherches sont établies pour simplifier l’approche du plan d’affaires en réduisant les items à prendre en compte, type le SynOpp2 « Réfléchir – Décider – Agir «  pour au moins intégrer une métacognition de l’Agir, comme indiqué infra

Le SynOpp utilise les suites statistiques pour déterminer les manques et donc les parts de marchés immédiatement disponibles pour l’entreprise.

Les données de croisés de côté en agir et interagir associés à celles d’un lointain permettent de considérer un réseau entrepreneurial nécessaire pour recentrer les axes de développement de l’entreprise.

1.1.2.2 L’implication et l’investissement internes différenciées et traduits simultanément par similarité englobante en objectifs et indicateurs intériorisés

De façon à suivre une même contextualisation et à restreindre son apport sur un calendrier tenable, 4 objectifs suivis par 4 indicateurs majeurs corrélés entre eux doivent devenir les piliers de l’ensemble. Ils se fondent dans le but à atteindre.

  • Le lointain et le futur: l’historisation contractuelle et sécuritaire à long terme de l’image

Deux indicateurs de même dénomination bâtis sur ces trois groupes de repères, ab initio3 à l’entrée, vont se trouver en continuité vers le long terme et en similarité avec ceux relatifs à l’enseigne suivis par ailleurs.

L’enseigne est un ancien lointain appliqué aux données contractuelles de l’image, soit sur le rectangle de l’Agir et de la métacognition. En effet, le cheminement de l’image passe nécessairement par « le contrat ». Ce dernier permet, notamment en économie sociale et solidaire une conservation des données de vison à long terme, du lointain réintroduites après recyclage (figure 12).

Le futur est un indicateur d’équivalence d’image en tant que reproduction d’un passé reconnu comme ancien contractualisé, soit un ancien angle de rectangle « image ». Toute intégration de nouvelles données nécessite d’y reconnaître les semblables et similaires. Ceci permet de concevoir un futur sécuritaire et de le conserver sur le Soi de l’agir.

Tout ceci ramène aux membres fondateurs.

L’indicateur de suivi à long terme s’applique à toutes les pratiques et à leur extériorisation vers un nouveau contexte. Il sera utilisé dans le mix marketing (cf. l’exemple de la « station d’épuration »). Plus il y a recours à des équivalences entre les parts de marchés dédiés affectées à la marque et à l’enseigne et plus il correspond à la mesure du lointain, intégré dans un cheminement (cf. infra).

Néanmoins, l’équivalence permet d’entrevoir des développements de marché pour l’enseigne à partir du produit avec des aménagements à long terme voire un nouveau conditionnement de l’entreprise ainsi amodiée quasiment en interne.

en interne.

  • Le positionnement historique et les similaires

Au vu des croisés, les pratiques similaires sont traduites dans les angles ronds / de secteur de conception (la grand échelle) et d’inter agir (le monde des formes, abah). Ces deux indicateurs, aux repères inversés à l’indicateur globalisé de contexte combiné à la marque et, par elle, à l’enseigne qui les traduit en tant que morphème ont leur place dans la partie dédiée à la « similarité ».

Pour les deux autres angles de secteurs, il s’agit d’une redite particulière et aménagé du morphème ou de son équivalent.

Même si les indicateurs se réduisent à partir de ce facteur commun, toute extériorisation traduisant des pratiques appliquées sur un contexte différent crée une addition, un ajout de semblables. Néanmoins, une possibilité d’agrégation est conservée mais nécessite d’introduire a priori un rapport avec le dénominateur, donc quelque chose en inverse.

Dans la représentation conventionnelle théorisée présentée dans ce document, les redites du morphème se logent de la manière suivante : Le premier indicateur est introduit directement des données extérieures sur résonance historique en repères inversés et conservé sans changement dès l’arrivée. Le second correspond aux caractéristiques de la définition d’une roue de lanière. Il est multiple : il part d’une hérédité constatable dans la définition d’antériorité d’indicateur aux repères inversés à ceux du morphème, pour revenir sur une équivalence de ce dernier, donc dans le bon ordre.

Soit l’indicateur a/b et une extension des pratiques dans un nouveau contexte, le même indicateur sur les deux espaces contextualisés donne v1/m1 et v2/m2, soit ((v1 + m2) + (v2 + m1)) / (m1+m2) soit (v1+v2)/(m1+m2) et (m1+m2)/(m1+m2). Or, au départ, où tout est à 0, (v1+v2)= -(m1+m2) x (m1+m2) ; v1+v2= -m1²-2m1.m2-m2² v1+v2= -(m1+m2)² Soit une possibilité de -(m1+m2)² /(v1+v2).

En cherchant à décliner les éléments, on peut y associer la même recherche en (v’1+v’2)/-(m’1+m’2)².

Au fur et à mesure, ces 6 à 7 indicateurs se complètent d’un repère correspondant au plus englobant en direction de l’extérieur. L’angle de secteurs de l’agir, l’angle de rectangle des corps de métier sont impactés en priorités par ce plus grand diviseur. En général, il garantit une équivalence entre eux qui sont les premiers concernés par un chemin vers l’extérieur sur nouvelle contextualisation.

 

 

Table des matières :

Une méthode empirique représentative de l’aréa (introduction)

 th6ZDBU2SM150628-Tradition&ContratSocial-Intro

1 De l’économie circulaire à l’économie solidaire : la soupière (introduction)

paire_ciseaux_anciens150628-EcoCirAEcoSolsoupière-intro

plateau150628-LesFondamentaux(1-1Soupière)

… en attendant la suite :

CarteProd.ProgAvecBoussole(simple) Carte-Bloc CarteProd.ProgAvecBoussole

Notes :

1Les similarités et équivalences des côtés des 4 angles de secteur font ressortir un morphème, soit la plus petite caractéristique. Pour un même groupe proche (kenegdo), lointain (mimcha), agir et interagir, l’idée est de trouver des équivalences au plus proche

2 Cf. les travaux de M Pierre Bourdieu

3 Un indicateur est toujours la représentation de deux repères en corrélation l’un pour l’autre. Ces repères peuvent pour un indicateur donné être cités en paire.

4 Les composantes de l’économie circulaire, (ADEME, https://www.ademe.fr/expertises/economie-circulaire)Le schéma matérialise les trois domaines d’action de l’économie circulaire, ainsi que leurs piliers associés :

  • L’offre des acteurs économiques repose sur : l’approvisionnement durable, l’éco-conception, l’écologie industrielle et territoriale, l’économie de la fonctionnalité ;
  • La demande et le comportement des consommateurs repose sur : la consommation responsable et l’allongement de la durée d’usage ;
  • La gestion des déchets repose sur le recyclage.

L’ensemble de ces domaines d’action forment un cycle, où chaque étape entraîne la suivante.

5 Image du net : https://www.iledefrance-europe.eu/actualites-europeennes/detail-actualites-europeennes/article/vers-une-economie-circulaire-en-europe.html

6 Plan d’entreprise ou encore plan d’affaires ou business plan ou plan de développement, ou stratégie d’affaires. https://fr.wikipedia.org/wiki/Business_planUn plan de développement doit permettre au lecteur de répondre rapidement à quatre questions : d’où l’entreprise part-elle ? ; où va-t-elle ? ; Comment compte-t-elle y aller ? Selon quelle progression dans le temps ?

Les différentes parties sont en règle générale structurées de la façon suivante[4] :

  1. Résumé du plan de développement : quels sont les points clés ? Accroche du lecteur !
  2. Genèse et contexte du projet : qu’est-ce qui a été fait ? où en est-on ?
  3. Équipe et encadrement : présentation du parcours des membres fondateurs.
  4. Analyse du marché : nature et tendance, clientèle ciblée, concurrence.
  5. Produit et services offerts : description du produit-service, stade d’avancement du développement.
  6. Stratégie marketing et commerciale : mix-marketing, (https://fr.wikipedia.org/wiki/Mix-marketing, ) politique fournisseurs.
  7. Moyens et organisation : installations, équipe opérationnelle, équipements, forme juridique et répartition du capital.
  8. Dossier financier (avec projections découpées par années, voire par trimestres)

7https://books.google.fr/books?id=CzmBTjm_z_gC&pg=PA121&lpg=PA121&dq=planification+crit%C3%A8res+de+positionnement&source=bl&ots=XN9yys1KgA&sig=imhKaJD26VqrP-1zcsyEFIXleVQ&hl=fr&sa=X&ei=TwqIVf3vNob0UpvsgqgB&ved=0CDEQ6AEwAg#v=onepage&q=planification%20crit%C3%A8res%20de%20positionnement&f=false

8 mix-marketing désigne, dans le cadre d’une entreprise de production ou d’une marque de produit, la combinaison coordonnée de décisions opérationnelles relatives aux volets clés de la commercialisation réussie identifiées mémo-techniquement par un P que sontpolitique de produit, politique de prix, politique de distribution, de Personnel, de Processus, de Preuve physique, de Promotion

9 https://www.cneap.fr/sectorisation-les-principes.html

10 https://www.investir99.com/blog/creation/synopp/

11 Une certaine latitude existe quant à la structuration du plan d’affaires suivant les attentes des lecteurs ou des points forts du projet. Des modèles anglo-saxons sont souvent adoptés pour la rédaction de projets internationaux ou de haute technologie. La présentation étant alors la suivante :Synthèse (executive summary)

  • Besoin du client et opportunité d’affaire
  • stratégie et étapes clefs
  • Plan marketing
  • Plan opérationnel
  • Management et personnes clefs
  • Projections financières
  • Besoins et plan de financement