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HEPHAISTOS ?!?


Héphaistos ?!?

Je viens de lire un autre article de la press-people de l’époque de Coré. Alors que l’Iliade composée avant l’Odyssée par Homère met Arès pour amant et (mari) d’Aphrodite, dans l’Odyssée – écrite après – Héra l’oblige à se marier avec le frère d’Arès, Héphaïstos.

Perséphone qui se plaît aux enfers auprès de Hadès ne sait plus que faire

Mettez-vous un peu à sa place. Perséphone connaît le fait qu’il y a une dichotomie obligée de la Grande-Mère durant les mystères. De l’enfant de Déméter / Cérès, elle représente le double de la Mère et Coré la jeune fille généalogique soit la célibataire, idée reprise et tenue par Parthénos.

Une fois la toge revêtue, l’idée d’être en pseudonymat comme lors du « pro-gamou » avant mariage introduit à la fonction représentative. Une fois, la toge, enlevée, même dans le cadre d’une démonstration en équipe, chacun reprend son « doux ».

Perséphone cherche donc à assurer sa paire avec Hadès dans plusieurs mondes.

Pourquoi revenir dans la fonction à l’idée de pro-gamou ? La nécessité de s’associer « isolément » de son COmpagnon – DIffusion-Circuits Ascendants (théorisables)-Circuits Individualisés-(en paire)Pérenne- en vue de passer Plusieurs Mondes (« CoDiCACiPar » / « CoCiCACIPass ») crée des confusions dans les perceptions de l’environnemental qui, à tort en général, y associe l’infidélité.

Chacun tient une fonction sur des clusters préparés en équipe, les deux compagnons – circuits « de bloc » apparaissant sur des « programmes » différents ou dans des « mondes » différents.

Ceci provient ou provoque un endormissement relatif.

On pourrait se dire que l’endormissement est un manque de conscience dans l’idée de logique, de serel. Un « jusqu’où on connaît » limité et éphémère.

On pourrait se doter de petites phrases,

Lorsque le « doux » scie du bois, s’endort-il peut être. Il est « mon-doux-scie-hé ».

Ce mon-doux-sien qui provoque quand même le fait de s’endormir de même : on est alors « m’endormi(s)-hé » …

Tout ceci pour éviter de « mordre la poussière » : un mauvais point à ceux qui disent encore « dir(e)-mords-pieds » !

Si un des compagnons de paire en diffusion circuits programmes (et diffusion seulement) n’est pas « impliqué » dans l’activité, il peut suivre en observateur, même si son « mon-doux-scie-hé » a provoqué un « m’on-dormi(s)-hé ».

Le plus difficile est l’association contiguë : on commence à s’y mettre : on est alors sur des « classes » de préparations différentes.

Quand on se crée un petit patronyme en surnom, on a tendance quand « ça tient », à l’utiliser sur ses programmes certains.

Les deux paraissent alors avec des pseudonymats qui se mêlent à ceux du groupe et aux ajouts « de consonants » de roue pilote, la représentativité étant faussée.

On paraît avec le pseudonymat de l’autre. Il y a un danger pour les autres arcades et les autres mondes, d’autant que la brisure ne peut se réaliser que dans le monde où tout va bien ; où tout est déjà construit ; et donc sur les autres arcades.

De plus, cela fragilise les correspondances entre les projets et préparations alors qu’il y a un fédéré entre les arcades et une allégeance à « soi(s)-même(s) » qui devrait permettre de remettre les valeurs antérieures normalement acquises dans les autres cheminements.

Peut-on rester ensemble dans ce cas ? L’idée de se tracer un pseudonymat célibataire « pro-gamou » permet une association maximale. Tout le monde a en effet eu ce statut.

Il est facile, même pour le « le moi-même », de revenir à ses valeurs de couple, une fois l’activité intense de représentativité effectuée.

Par la combinaison des pseudonymats ajoutés, peut-être que le premier état civil devient aussi un pseudonymat certain ?

La difficulté surgit quand la représentation environnementale donne deux mondes différents aux conjoints et que tout le monde veut s’en mêler. La première préservation est que chacun regarde ses pénates avant de chercher celle du voisin ; la seconde rendre ce que l’on pense impersonnel.

Pour évite ces écueils, « le bloc » cherche à se faire aider pour asseoir dans les environnements une stabilité.

La stabilité passe par le cheminement et les associations du fédéré.

Dans notre fait divers, tout à coup, Perséphone s’aperçoit qu’Aphrodite tourne autour d’Adonis qu’elle a élevé comme son enfant. Que lui direz-vous en serrant les dents : « mais Adonis, il s’agit de moi ».

Là-dessus elle doit laisser « passer » entre les mondes. On verra bien où est Coré ?

Et un scandale éclate : Arès n’en peut plus, veut tuer Adonis. Apollon, toujours maladroit quand il prend la forme d’animaux …., bref, fi d’Adonis.

L’arrivée aux enfers, d’Adonis ne solutionne rien, lettre morte ensuite ? Ceci paraît dans la logique des choses puisque l’idée est de connaître le double d’Hadès, celui qui peut suivre Coré sur terre.

Deux bons points à la composition de Perséphone :

La coulée associée était celle patriarcale, donc sur la préférence de la mère et sur l’animal, différencié de la végétation, en vue de l’association des mondes ;

Dans ce cas comme dans tous, le cheminement doit s’assortir d’un patronyme de suite insistant bien sur le fédéré ; au moins un consonant ou quelque chose de conjuguer en plus « d’attributs communs » : Adonis commence par le son Ad comme Hadès (qui l’a accepté), Il s’agit donc directement sur la syllabe de suite, même si le patronyme Psychopompe manque. on verra comment le retrouver, à partir du premier Adam.

Deux mitigés :

Bien que la référence à une association inter-monde puisse paraître une solution, la coulée patriarcale sur le bovin ne correspondrait pas totalement avec celle sur le mouton du berger. Au lieu de « boucler » sur la paire, on a tendance à « ouvrir » sur les associations.

De plus, on ne perçoit pas bien comment on pourrait ajouter Psychopompe : les attributs de l’enfer ne semblent pas ceux d’Adonis, bien que Perséphone l’ait élevé. Le projet semble avoir dévié.

Il y a toujours un loup qui cherche la bergerie. Perséphone aurait pu le faire entrer dans la sienne ; un bon point pour Hadès ?

Héra doit gérer la tribu

La tête qu’a dû faire Aglaé Charis, l’épouse d’Héphaïstos quand elle a appris la nouvelle ! Il faut dire qu’être la grâce, la beauté dans toute sa splendeur devait provoquer des confusions avec Aphrodite.

Héra est la déesse du mariage.

Une des choses qui accompagnent la roue pilote en « pro gamou » est l’indivis : chacun gère ses biens à sa façon.

Sur son plan personnel, chacun utilise ou pas ce qui caractérise ou non le couple dans ses formes y compris en pseudonymat(s).

Dans notre monde, on peut fournir des « déclarations aux impôts » complémentaires pour les pseudonymes. L’idée est de cocher la case célibataire. D’ailleurs, la toute première déclaration se réalise en tant que célibataire. Le mariage crée un ajout à cette dernière, (Il y a donc de quoi « tracer » sa route).

Héra a une dextérité sans borne en la matière. Il lui est arrivé au moment de la naissance d’Héphaïstos de se trouver dans ce cas. Zeus ayant réalisé, seul aussi, la naissance d’Athéna.

Dans le monde de l’Olympe tout comme dans le jardin d’Éden d’après la faute, le couple peut naître par la gémellité. L’écart de monde n’a pas brisé l’indivis ni la valeur maritale du couple Jupiter avec Héra mais a créé les deux jumeaux représentés en Égypte par Shou et Neftou alias Neith/Sekhmet – (dite Athéna) et Osiris Ptah (dit Héphaïstos), en tant que mari et femme l’un pour l’autre ; avec des patronymes inverses ;

Est-ce qu’Héra a tellement voulu asseoir, entre époux, un cousinage au moins partiel, qu’elle en a omis une des caractéristiques du couple ? Pour elle, la différence de monde était-elle trop pérenne ?

Or, quand Coré prend la définition de Coré-Parthenos, elle rejoint Athéna-Parthenos.

Héra se trouve devant des solutions à engager : Adonis était plutôt pour Coré donc plutôt sur Athéna. Héphaïstos aurait dû chercher Athéna avant Aglaé – Charis qui ressemble à Aphrodite. Aphrodite s’est stabilisée auprès de Adonis, en lieu et place de Coré qu’on ne perçoit pas trop. Pour certains mondes « ouverts », choix implicite de Perséphone, Aphrodite est donc pour Héphaïstos !

Héra, pour asseoir ses solutions, a restreint le champ des possibles environnementaux. Zeus le lui reproche assez.

Que peut-elle dire à Charis – Aglaé alias Athéna Parthenos qui vient se plaindre : « écoute elle te ressemble assez. Débrouille – toi pour la mettre sur toi. D’ailleurs « ta » petite histoire avec Adonis …. » (sous-entendu, si tu continues je (te) la mets ….)

Dans ce cas, mieux vaut louvoyer de façon à éviter de ressembler à cette Aphrodite en perte de repères …

Ceci signifie aussi que Charis – Aglaé n’a pas bien perçu où était sa chair. D’ailleurs, qui va réellement percevoir les choses ? Peut-être Perséphone et sur ce trajet Coré …

Donc, Charis-Aglaé doit refaire ! Coré tirerait-elle avantage de se substituer à elle, par Perséphone et Athéna ?

Athéna, l’oie blanche ?

Notre roue pilote de la cité, Athéna s’entendait à merveille avec Héphaïstos. Elle en a les mêmes projets. Dans la démultiplication, serait – ce Charis qui serait le cheminement pour « la roue pilote »,  et Athéna-Parthenos en tant qu’entité ?

Si Coré refait, le cheminement de Héphaïstos peut-il être mieux assis généalogiquement ?

Pour rappel du dernier article, Athéna aurait la même place que Parthenos. Elle fait partie du Parthénon, là où résident les Parthénos les « pro-gamou » avant mariage. Une des possibilités est que Coré soit au final la Athena dévoilée.

Les divers synonymes, des enchaînements relatifs aux mondes différenciés (végétaux, etc.) peuvent permettre de recomposer, en prenant les illustrations présentées, des arcades de trois rangées, par exemple. Athéna pourrait par Neith-Isis rejoindre, comme Io l’ancienne Égypte et les trajets de formes bovines.

Aphrodite est sur l’agir et se confond quelquefois avec Perséphone – Hadès qui est la première Coré et toujours la je-glone attentive de cette dernière.

La paire rempart peut être considéré comme le devenir principal superposé à l’agir, ce qui permet de reconsidérer le trajet d’arcade. Perséphone avec Hadès prennent plus de force.

Le premier bébé éprouvette

et la première mère porteuse

Sinon, la parèdre de Knoum est la grenouille Eket experte en accouchement tout comme Artémis, par rapport au rôle de Parthenos qu’elle porte aussi comme Athéna et Coré.

Athéna et Héphaïstos inspiré de leur histoire égyptienne, par « Hou » le verbe, ont cherché à développer un projet d’Artémis. Cependant, ils n’ont pu le reprendre par Charis – Aglaé l’alias étant trop marqué vers Aphrodite ou bien se sont-ils dits que cela ne correspondait pas.

Un jour alors qu’Athéna était en fonction, donc sur sa représentation virginale, Héphaistos, cherchait son épouse.

De Charis – Aglaé à Aphrodite en passant par Coré-Parthéna à Athéna, voilà donc qu’il poursuit de ses assiduités cette dernière.

Le sol permit à Erichtonios de naître, le sperme ayant été recueilli par Athéna sur la cuisse de son ami.

Héphaïstos est vraisemblablement le cahier des charges accompagnant le corps de métier des enfers. Son « cube » dans les illustrations d’arcade (cf. article Faire et illustrer son cluster : de Coré Eleusis à Capharnaüm) est donc bien synonyme de celle de Athéna-Parthenos.

Pour Héphaïstos, le feu rejoint bien les enfers :

La représentation du feu en Égypte correspond à une plume. Les Dieux qui en ont dans leur hiéroglyphe sont, par exemple, le Dieu Shou en grec Sos, dieu des enfers (il n’en porte qu’une). Son épouse est Tefnut, la rosée. Shou et Tefnut sont les deux premières divinités et correspondent au signe des gémeaux. Tout ceci les rapproche de Athéna alias Charis-Aglaé avec Héphaïstos.

Shou correspond à la croix de ankh et Tefnout à maath la vérité en conscience. On cite les jumeaux en tant que Ankh (la croix de vie) et Ouas (le sceptre), sceptre qui rapproche des Psychopompe. Tefnout est aussi l’alias d’Athor ; Shou celui de Heh, tout ceci retentissant sur les premières syllabes de Athena et Héphaïstos.

Le règne animal de Tefnout est celui du lion et de la férocité de la déesse lointaine.. Shou et Thot la ramène du désert où elle s’y laisse aller, après l’avoir enivrée tout comme Dionysos l’a effectué pour ramener Héphaïstos en Olympe, sur la volonté de Héra.

La déesse Sekhmet est un autre alias d’Athena de même attributs : lion et férocité, ankh. Elle est bien épouse de Ptah donc d’Héphaïstos., Neith ayant pris un « surnom ». La boucle est bouclée.

Héphaïstos alias Vulcain rejoint bien un des rôles de Psychopompe :
même s’il ne porte pas la canne de Hermès,
il a accepté d’être le support de telles fêtes conduit aux enfers.

A ce propos, il y a une fête les Vulcanisa qui se passent sur les volcans ; l’Etna ou le Vésuve. Durant la rav , la production des gaz par le volcan tuait très rapidement ceux qui y participaient et qui étaient alors vraiment m’endormi(s)-hé.

L’avantage était que les corps étaient incinérés dans la foulée.

Anubis qui est l’alias de Hadès est le chien artisan, le chien métallurgiste,
le patron de ces derniers étant Ptah.
Anoubata signifie pompes funèbres le réalisateur étant Ptah Héphaïstos.

En Égypte, sans doute pour plaire à Athéna, alias Neith, il se laisse appeler Knoum. De ce fait, Athéna et Héphaïstos ont même une paire de patronymes inversés.

Il se met totalement dans l’équipe des enfers. On dit que « Knoum » est aidé[/(e) dans le cas où Neith est pris pour une divinité masculine] de Ptah-Osiris et soumis aux ordres de Thot donc de Hermès, désigné par Osiris-Thot.

On donne aussi à Neith – Isis, Hou le verbe créateur comme parèdre, époux dans sa fonction soit en dénoué ou devenir.

… Même Pandore peut donc se retrouver par Neith et le verbe ?

Pandore est la première femme dotée de parole qu’elle enferma dans une boîte qui atterrit chez Perséphone.

Héphaïstos a d’ailleurs participé à sa création à partir de la terre.

Athéna qui cherche à asseoir une représentativité est donc gâtée dans le monde égyptien, et Coré prise en prolongement le serait avec celui d’Héphaïstos-Hadès alias Ptah-Osiris.

Hermès étant Osiris-Thot. le patronyme de Psychopompe lui serait bien consenti par Hermès.

Laissons-le s’exprimer :

« Reflet de Charis-Aglaé mon épouse, « je-glone » des enfers, Aphrodite que m’a donné ma mère Héra est à mon frère Arès.

« Dionysos a été un recours pour moi quand Héra m’a demandé de revenir sur l’Olympe. Héra est « ma génitrice, même si j’ai été élevé par l’Océan et ses enfants, Téthys et Eurynome, mes « nourrices.

« Je connais la vie d’Athéna Neith. Là où elle apparaît mariée, elle est citée en tant que « Neith-Isis avec Ptah-Osiris. Quand Neith s’est faite appelée Sekhmet je l’ai conservée comme épouse. Mon épouse a toujours tenu le ouas, le sceptre à mes côtés ; avec l’ankh.

«  Isis – Osiris sont les pendants égyptiens de Perséphone et Hadès, Osiris étant le « Divin agriculteur et Ptah l’architecte des tombes. Je ne me « serais pas permis de m’introduire dans leur intimité sans repère. Je sais que mon cheminement passe par les enfers. J’ai créé les vulcanisa. J’ai cherché à m’allier à eux de toutes les manières. J’accepte le joug de Psychopompe – Thot Trismégiste par Knoum et je m’associe plusieurs fois à lui. »

Que peut-il se passer ?

Héphaïstos va-t-il prendre le patronyme de psychopompe
ou de Hadès comme il a pris Osiris aux côtés de Ptah en Egypte ?

…Et où est encore passée Coré ?

avec la participation de Lois-Joanne Lane-Kent (alias Mary-Betsy Kane Lloyd-Graison)

En Quoi tu Crois