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Article 3 : Cartographie des isoquantes de Marshall et Mobilité

Article 3 :

Cartographie des isoquantes de Marshall et Mobilité

Table des matières :

1. Le tissage du capital humain dans un espace-temps événementiel

1.1 Des théories d’inspiration appliquées aux situations du capital humain

(la noosphère , le « réfléchi » de conscience appliqué à la réalité collective  de Teilhard de Chardin, espace-temps « plat » et quadrillage ; certains moyens de la mobilité)

1.2 Caractéristiques particulières

(les enjeux se développant en espace-temps plat ; leurs repères)

1.3 La représentation appliquée à l’agent

(Valeur ajoutée, valeur d’impact et horizon événementiel)

2 Emergence de repères capitalisables et réalité collective dans le cadre de la mobilité

2.1 L’illustration par un exemple

(L’exemple d’Albert Einstein)

2.2 La mesure des valeurs de subsidiarité

(Seuil de rentabilité et virtualisation les « en clones » : Dolly la brebis ; l’inter-action du développement environnementaux et projet agent)

2.3 Au plan pratique, des repères

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un PDF : CartographieEtMobilite

Réflexion sur les déterminants d’une linéarité éco-conduite en espace temps plat, avant l’abord du déterminisme environnemental :

Pour la Tradition, l’Homme serait en contrainte et donc déterminé sur 98 % de sa sphère mais sur un seul pourcent il peut effectuer son « Retour » à lui-même … sa volonté s’applique alors dans celle du divin et donc de l’inconscient collectif. Ce dernier rejoint les théories de Gaïa relatives à un horizon événementiel portant une réalité collective


PRESENTATION

En projet, la fiche proposée en lecture tente une présentation syncrétique et systémique en vue notamment de la gestion de la mobilité.

« Dans le cadre d’une contrainte au regard des effectifs et d’une dispense au regard de la parité homme – femme, la question posée est réfléchir en globalité à une capacité d’intervention pouvant déboucher sur un plan de mobilité pluriannuel d’horizon 3 à 4 années, avec suivi de l’agent. »

La mobilité est « facile » lorsque l’agent est « regroupé » en mobilité intégrée, sur un espace réduit au moyeu avec acquisition de savoir, savoir – être et savoir – faire. L’agent suit les mouvements de l’environnement professionnel ainsi que ceux qu’il a déterminés.

De même, dès l’instant où il entre en « impacté », il suit les orientations correspondant aux critères de développement professionnel, ayant participé à leur définition.

Entre les deux, la mouvance de l’agent est beaucoup plus difficile à calibrer. La fiche décrit ainsi une représentation imagée autour des concepts de Marshall (la cartographie des isoquantes), de Teilhard de Chardin, la noosphère, la réalité collective et de Schwarzschild, celle de la métrique et de l’horizon des événements2 bâti sur des données asymptotiques.

L’objectif est d’interpréter ce qui se passe à l’intérieur de l’espace – temps dit « plat » avant que l’horizon événementiel ne se forme et où l’agent se déplace en linéarité, tout comme le praticien réflexif.

Un praticien réflexif est potentiellement capable de dégager sa représentation du Système Général par le développement d’une réflexion systématique, reproductible, évolutive et autonome pour agir et se transformer. Cette définition interroge cinq logiques de formation qui seront mises en parallèle de la façon suivante :

  1. la structuration de la formation, initiatrice du départ de sa réflexion ;
  2. l’unité du praticien et de la formation qui, en valeur ajoutée correspond à la prise sur soi des aspects de devenir ;
  3. l’autonomisation de l’acteur qui devient l’inter-agir. Schématiquement, le développement professionnel et l’action s’intervertissent. En effet, l’inter-agir ne se conçoit pas sans l’agir en cheminement direct tout autant que l’unité de l’acteur et de son devenir conditionne le développement professionnel, l’espace « plat » prenant ainsi une forme circulaire, l’agir réflexif prenant toute son ampleur entre l’autonomie de l’acteur et la prise en compte « en conception », en développement professionnel « comme logique de formation ».

Toute approche diamétrale se fond dans un nouvel horizon événementiel qui peut conduire à changer de « dôme ou colline » de production (Marshall). Il est formé de l’ensemble des isoquantes affectable à une production donnée, chacune de ces droites ne se rencontrant pas et traduisant un rapport différent des facteurs soit le capital et le travail, auquel on peut aussi ajouter « le reste ».

La mouvance d’adhésion suit le déploiement subséquent qui se réalise en plusieurs moments et se développent sur des réalités construites existantes dont la première est un extrait de la projection en devenir. Il en permet les améliorations. Il peut être traduit par le terme de semi – masqué, puisqu’une part en est dévoilée.

Il y a donc adhésion de l’agent à l’événement plus qu’au poste.

La mouvance intégrée correspond à la découverte des tracés de modélisation antérieure et actifs.

Tout comme la mobilité intégrée, elle ne peut que conduire l’agent à accepter le développement professionnel qui suit l’amélioration par étendue subséquente, de façon à profiter des améliorations acquises.

Le déploiement vers une autonomisation telle celle du praticien réflexif est encore lointain de l’ensemble conceptuel de développement professionnel envisageable.

La diamétralité y serait une option dans un moment de plus de liberté d’actions mais avec plus de risques de perte si le prochain dôme de production n’avait pas eu la même possibilité d’introduction de diverses améliorations sur des horizons événementiels abordable pour l’agent.

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trique_de_Schwarzschild

« Rivet » fermé et ouvert : Perception de l’horizon selon la géométrie de l’espace-temps de Schwarzschild. La courbure croit avec la masse. Elle devient infinie uniquement au centre.