Neferrenpet et son épouse Moutemounia tenant un bouquet de fleurs en adoration devant un grand porche, sebkhet.
Sommes-nous sédentaire ou bien nomade ? Quelle stratégie avoir quand les conditions changent ? Pouvons-nous complètement reformuler nos choix et dans quels cas ? Notre démarche rationalisatrice peut-elle s’abstraire de notre culture ou bien nos choix tout en s’affinant entrent-ils dans des orientations à plus long terme, la ressource d’aujourd’hui n’apparaissant plus que comme un outil là où elle se confondait avec l’objet stratégique, le repère, là où tant de choix se sont déployés.
(L’espoir de la continuité de l’action des « anciens » aux « nouveaux » dépassent le culturel)
( Toutes les cultures définissent l’état de création par la désignation. Pour l’homme il s’agit du patronyme ce qui n’exclut pas et se trouve renforcer par le prénom depuis Adam et Eve. Cette nomination doit être comprise comme le lien de transmissibilité et de succession entre ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui)
Vous attendez une réponse organisationnelle ? Que nenni : c’est notre image que nous dessinons au travers de nos activités ; et même les plus banales. Nous naissons et déjà nous avons un « prénom » bien à nous. Nous façonne-t-il ou bien, dans l’événementiel du baptême, devient-il la ressource de notre acceptation : pas trop bien, pas trop mal et ça passe en tenant les serments d’allégeance ancestraux ?
(La mémoire est universelle en ce sens qu’elle obéit à des lois physiques qui soumettent le culturel. La mémoire écrite est la plus pérenne. L’acte, la parole et la pensée s’y réfèrent)
De façon instinctive nous cherchons périodiquement à officialiser et à mettre sur papier. Est-ce un besoin de mémoire ou bien de témoigner en prenant bon gré mal gré la partie la plus perceptible de notre « Ice »berg « Le » repère à partir duquel notre préfiguration pourra se construire et notre culture contrainte au début, s’émanciper ?
(Cependant, la transmission implique l’envie d’enseigner et d’apporter selon les propres voies de chacun qui définissent la représentation, l’impact, au travers de l’image du « le moi – même »,)
(Produire est en ce sens « notre réalisation » d’être)
Dans notre vie de tous les jours, nous cherchons à trouver dans l’événementiel les moyens de nous organiser en fonction de repères adéquats.
Périodiquement nous reprenons « contact » et nous nous satisfaisons du cadrage productif qui repose sur de l’ancien.
(Notre instinct nous conduit ensuite à présenter pour mémoire, diffusion et reprise notre production dans un cadre qui nous place au rang de « sage »)
Cet héritage nous apparaît quelquefois fouillis au regard de notre volonté de paraître et de nous engager.
Son organisation normative inclus de savoir conduire nos projets et de les orienter.
L’image, la représentation finale vers laquelle mène notre cheminement est le moteur de notre culture, notre stratégie en étant le révélateur.
(Mais notre vécu à facettes multiples n’est pas toujours sur les incurvations que nous voudrions apporter à ce cheminement. Nous avons donc besoin de repères.)
C’est ainsi que le repère devient l’interface entre le produit et le cadré, au plein service de notre stratégie de démonstration, de notre activité, de notre image.
La ressource d’où nous partons, les moments d’incertitudes que nous traversons, nous les suivons la plupart du temps dans une espèce de demi-sommeil, guidés par une traduction. Le repère devient alors la tête chercheuse de la production de notre image.
Y’a une ange (chanson de Pascal Obispo) :
« Y’a un ange, un ange entre nous, qui attendait cet instant
« Y a un ange, un ange entre nous, ho ho… qui nous donne un rendez vous… rendez vous
« et c’est pour ça qu’on vole, because we know the angels who sing a love song
« et c’est pour ça qu’on reve because we know the angels who sing a love song
« et c’est pour ça qu’on s’aime, on sait qu’on s’aime
« Y’a un ange, un ange entre nous, comme un ciment transparent
« Y’a un ange, un ange avec nous, qui vient faire de nous un tout
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