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Archive : Les apartés d’En Quoi Tu Crois

La bonnotte de Noirmoutiers : un exemple d’expansion de la patate

Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II

art.5

La bonnotte de Noirmoutiers :
un exemple d’expansion de la patate

2-Tvivlar ou lita ? ; les repères ; transcendance, organisation, généalogie

Qui n’aime pas introduire de temps en temps quelques nouveautés dans son parcours . Or, l’a plupart des philosophes sont d’accord : la création, « quand l’existence précède l’essence «  est de nature à inquiéter.

Si nous prenons deux exemples du domaine végétal, la pomme de terre et les restrictions dues aux « Saints de glaces » du mois de mai, nous obtenons la bonnote de Noirmoutiers. Les conditions de développement de cette pomme de terre, sont tellement restrictives qu’il a fallu une étude de l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) pour obtenir une possibilité de vente à prix standardisé. Elle demeure la pomme de terre la plus chère et se vend, en général la deuxième quinzaine de mai. Elle a une durée limitée et doit se consommer très rapidement.

Sans connaître l’ensemble des écrits d’Emmanuel Kant, fondateur de la doctrine dite« idéalisme transcendantal », une de ces citations me semble révéler la quintessence de la question : « ce qui est condition de vérité dans l’ordre du connaître serait – sous des conditions déterminées – source de mal moral dans l’ordre du devoir » .

La pomme de terre est perçue comme une tubercule nourrissant en temps de lutte contre la famine et la pauvreté, rejoignant en cela les recherches habituelles d’organismes génétiquement modifiables pour nourrir plus de monde sur la planète. On peut percevoir un certain malaise moral du fait qu’avant d’en venir à 5 ou 6 eurps le kilo, la bonnotte a fait l’objet de ventes aux enchères de 457 euros le kilo.

1/ L’expansion : le domaine des végétaux

La complexification des organismes est la caractéristique de base des végétaux depuis la nuit des temps. Elle est due à un besoin d’évolution et d’expansion. Parties d’organismes marins, les plantes ont colonnisées les terres émergées et se sont adpatées à différents cycles de vie ainsi qu’à diffrérentes formes.

Tout ceci se focalise de nos jours dans la gestion des graines qui sont le fondement de la dispersion nécessaire.

On peut prendre exemple sur les phases stratégiques de dispersion des plantes pour expliquer le passage de l’aspect concurrentiel.

Comme les plantes pour s’étendre, il faut s’associer : leur stratégie

Dans ses recherches de pollinisation et de graines, la plante essaie de s’adapter à l’éco-système.

Le fait de passer de l’expansion géographique de l’espèce au brassage génétique local demande d’éviter une concurrence au sein d’une même population pour une même ressource (concurrence intraspécifique). Il faut donc un comportement « altruiste ».

Ceci passe aussi par les animaux. Par exemple, la plante peut se polliniser mais elle accepte un « retour » par certains animaux qui viennent la butiner.

Si nous revenons à l’exemple du mortier, Lorsque l’enduit est lissé, il revient sur la truelle et la taloche : l’effet de plus grande dispersion doit contenir par le revers – les similaires – « un retour » d’enclave sur encastre mélangé à la valeur : le rayonnant est donc toujours présent. Il complète le rassemble qui évite de se scotcher au « matériel » qui conduit le contenu. Pour le mortier cela peut introduire une donnée de temps de séchage selon les supports et la finalisation.

Pour les plantes, quel que soit l’apport extérieur, il y a introduction dans un cycle dont elle est propriétaire.

Par exemple, le cycle à deux génératons ou digénétiques des plantes primitives allie, gamètes et zygotes.

La gamie donne un zygote le sporophyte, tétrasporophyte (tétra = 4) ou méïospore qui représente la 2° génération. A sa suite, la formation par réduction chromatique (méÎsose) forme des spores tétraspores, par exemple.

La métapopulation qui résulte de la dispersion géographique et définit la colonisation d’espaces éloignés doit considérer une non compétition entre descendants et parents.

La gestion en local est soit de ne plus pousser dans un environnement défavorable ; soit de persister malgré l’extinction locale.

2/ le retour sur investissement :

Contrairement aux idées reçues les plantes sont capables de moblité spatiale mais de peu d’ampleur.

Cependant, le retour sur investissement d’avoir consacré des efforts à pousser et à collaborer est accéléré par l’introduction d’un autre moyen : éléments naturels, outils, animaux (dont l’homme) hâtent le cycle de déplacement introduit dans la stratégie d’expansion de la plante.

Il est à la fois opérationnel par la réduction des coûts d’effort ; de productivité par la mise en place de processus plus efficaces : stratégique, l’évolution demandant une transformation en vue de toujours s’adapter.

La mobilité par la graine produite en une seule génération ; un ensemble en circularité éco-conduit

Si nous reprenons le schéma de création des graines, quand il s’agit d’une plante à fleurs, il faut partir de la fleur portant les ovules et sur le pistil les grains de pollen. Il y a fusion deux à deux dans la fleur.

Si on veut chercher à représenter symboliquement deux générations en une, il y a une éco-conduite par le stigmate (le pistil) en fonction de signaux chimiques.

Si on essayait de représenter un tableau généalogique, nous aurions des déterminants en reflet entre un aspect des individus femelles ou mâles de grand – parenté cherchant, à partir de leur propre arrière grand parenté leur pendant caractéristique sur l’autre aspect : par exemple, s’il y a une déclinaison de branche principale sur les suites du géniteur de la génitrice du géniteur, il y aura recherche sur celle du géniteur de la génitrice de la génitrice, des effets des suites précisées ci – avant.

L’ensemble composite des branches, en pendant, celui qui offre un effet « d’aube des planètes » aura sans doute un reflet en retour par les paires formées dès la branche principale.

Sur un projet, le premier regroupement sur taloche de la première tourelle en branche principale, va créer un effet de dispersion ; et tout d’abord par les deux bords de la taloche.

La diffusion crée des éléments qui seront donc excentrés, l’un plus dans le même profil sur le mur et l’autre plus externe : si on projette trop près du sol, peut-être poura-t-on recycler en remettant sur la taloche, en « fenêtre ». Cependant, le plus gros du recyclage provient du lissage. Globalement, il y a considération de même mortier, sur une évolution de temps.

La fait de revenir à la branche principale trace une circonférence sur les aspects du rayonnant + du rassemble même si le temps de séchage provoque une différenciation par dérivées ajustées par la proportion de colle, en généalogie la carte ajustée d’enfants qui nous ressemblent et nous ont aidé à bâtir la branche en clone sur des éléments de la branche principale. Dans le bac, on compose le mortier en créant un effet de chausson

Une part du mortier n’ira peut-être pas au même muret institutionnel ou devra faire l’objet d’un nouveau conditonnement de ce « trop de prime abord ».

Ce qui permet le lissage est la truelle et un côté de la taloche : peut-être utilise-t-on le petit côté « en fenêtre » et le grand en « porte des cieux » ?

Rêves d’Orient

Jasmin …
Jardins, ivres de fleurs

….

Rêves d’Orient
Insomnies d’Occident
Toutes les nuits
De proche en Extrême
Je pars de moi-même
Rêves d’Orient
L’oubli du présent

Auteurs: Jacques Lanzmann,Florence Chambouleyron ; Compositeurs: Pascal Obispo ;Editeurs: Atletico Music,Sony Music Publishing

Bonne semaine,