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Archive : 2-Tvivlar ou Lita ?

Les créations synthétiques de Cruella D’enfer, perçues jusqu’à l’équilibrage des forces de la cité

Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II

art.9

Devenir écologique et tendre vers veggé-an.

 

Le dernier article de la trilogie présentant Cruella d’Activity alias d’Enfer par Lois Joane Lane Kent alias Mary Betsy Kane Lloyd – Graison, est une interview du délégué local où est installé le siège social de l’entreprise …

Les créations synthétiques de Cruella D’enfer, perçues jusqu’à l’équilibrage des forces de la cité

2-Tvivlar ou Lita ?, Les repères ; anticipation, acteur, écoute, projet, les mondes

JLK : « Monsieur le délégué, vous avez accueilli sur le territoire que vous gérez le projet de Mle Cruella d’Activity d’Enfer. Quelles retombées en attendiez – vous ? »

M le Dél : « Dans le modèle tracé par Mle Cruella d’Activity, peut-on parler d’un effet traçant le chemin de vegge-vegge ou vego-an vers vegge-an ? Le vego-an représenterait le pis aller / pis à lait alimentaire. Il porterait l’équilibrage des forces pour un vegge-vegge autour de projets établis en extension à partir de germes en expansion.

Trouvons un terme pour les indécis : Veg-i.

Les plantes ont besoin de l’humus de l’économie circulaire pour se nourrir. Elles produisent des fruits qui seront introduits dans le système de recyclage et d’amélioration selon les milieux physiques. Il y a donc des effets naturels d’extension et d’expansion qui contredisent le synthétisme animal se finalisant en « s’il n’en reste qu’un(e), je serai celui / celle là ».

La propension animale tend à mettre sur son espèce la production ; on ne s’étend pas ; on a tendance à centraliser.

Cependant, les animaux correspondent à une part importante du système écologique, en tant que « véhicule » du monde végétal.

La dimension veggé-an traduit une organisation combinatoire, propice aux deux mondes animal et végétal. »

JLK : « N’avez-vous pas été inquiet des retombées des premiers « essais ». Je veux parler des dalmatiens ? »

M Le Dél. : « Le mal ne peut se construire que sur le bien et tout mal contient du bien, sinon le monde s’effondrerait. Un certain déterminisme conduit donc à penser que toute action doit révéler le bien qui l’a générée. Elle doit l’épurer sur plusieurs niveaux : celui de l’instinct et de la peur, de « l’inquiétude », celui de l’affect, celui de l’objectivation, de la connaissance, celui de la continuité et de l’idyllisme.

Il va donc y avoir tendance à mettre dans les mains sécuritaires, l’ensemble du processus de gestion et d’optimisation de temps. Ces aspects bénéficiaires sont similaires à des ajouts attribuables au système d’expansion et de dispersion.

L’État est une image de l’expansion sécuritaire. Est endigué par la démesure entre le début et le rendu final potentiel, l’aspect dispersif destiné à redonner aux groupes très ciblés ayant réalisé les premiers contrats de la production novatrice.

Un schéma organisationnel ancien définissait les rôles public / privé autour de la production / productivité : l’État en était en quelque sorte le modérateur face au privé qui devait pousser la productivité « ciblée ».

L’extension doit être reconnue comme le principe majeur puisque Il y a eu une extension de la propriété publique au-delà de l’attente et du besoin.

Le partage des rôles ne tenait plus, quel que soit le système d’expansion centralisé, déconcentré, décentralisé. Passer de l’un à l’autre n’apportait plus rien.

La production a tout crin du « privé », se passait de l’aspect sécuritaire dans les mains de l’État. Gérer l’écologie est donc le pis aller des aspects de responsabilité de ce dernier introduites dans « le partage » entre privé et public, en vue d’une gestion des micros – systèmes, à la fois anticipatrice, par son écoconstruction et son écoconduite ; tout en étant applicable par tous et donc, dans le système productif privé.

La démarche est gagnant – gagnant. Pour Mle Cruella d’Activité, alias d’Enfer (dte), entourée des meilleurs avis et ayant fait certifier ses formations, il n’y avait pas de problèmes. »

Jlk : « Culturellement, comment les concitoyens ont – ils accueillis les projets ? »

M Le dél : « La synthèse sur les plumes d’oiseaux ravit ces derniers et le comportement à tendance végétarienne des veggé-an ravit les plantes qui peuvent avoir plus de mobilité dans les extractions et dispersion de leurs graines.

Nous attendons beaucoup de ce type de projets. Par exemple, pour la lentille verte du Puy, un espace collaboratif aurait peut-être abouti à prévenir, par une extension, l’aridité de cet été. La plante a été prise au dépourvu et aucune mesure anticipatrice et préventive n’a été mise en place.

D’autres expériences ont été recensées : par exemple sur les légumes géants, celle du professeur Dujardin, relation de l’inspecteur Gadget (« la main verte »). Les mauvaises herbes profitant du produit qu’il a créé reviennent à leur état normal rapidement. De ce fait, on peut penser que la nature absorberait facilement les traitements ponctuels compensatoires. L’utilisation serait aussi destinée à favoriser un surplus de production temporaire. La jachère en demeure l’outil indispensable.

Sur la question des OGM : l’idée de restreindre, par exemple, la part non productrice de fruits sur les ronces va dans la bonne direction. On produit autant sur un espace restreint tout en diminuant la valeur d’étouffement des autres plantes par ces mauvaises herbes dont l’intégration dans l’environnement proche est améliorée.

En effet, à l’origine, ces dernières ont un taux fort d’étouffement d’ensemble qui les conduit à s’étendre pour respirer et donc contraindre les autres végétaux.

La « planète bleue » tient sa désignation de l’atmosphère qu’entretiennent les plantes. Tout effet sur l’écosystème est un effet sur ces dernières.

L’augmentation de la population mondiale a fait émettre des avis très contrastés. Pour les plantes, cela a quand même diminué les inquiétudes. Pour les animaux, la protection des espèces permettra de réguler sans diminuer de la valeur d’équilibrage les cheptels vu, aussi, que l’on prévoit plus de nourriture.

Cependant, la chaîne alimentaire se fournit sur l’animal, depuis les superprédateurs, carnivores même s’il sont aussi omnivores jusqu’à l’humain qui a accru sa consommation de viande.

Le riz a une photosynthèse au départ très purifiée sur le plan alimentaire à partir de la lumière. Des mouvements humains cherchent à développer des aspects de synthèse de même nature, par exemple les disciplines prâniques. Ceci dit, les maîtres bouddhistes conseillent aussi des légumes et du lait au coucher, par exemple.

En 2014, ont débuté des travaux d’amélioration qui ont permis l’augmentation de la production de riz.

Maintenant sur le maïs : dans ces conditions, les animaux pourront accroître la consommation végétale sans effets secondaires. Nous attendons donc une évolution des mondes sur la consommation de viandes. Elle doit être aussi psychologique sur la prise en « soi » de la perception animale en général.

LJK : « Peut-on faire un parallèle par rapport aux animaux, en fonction de la longueur de vie et du besoin de conserver la mémoire des congénères ? »

M Le dél. : « Pour illustration, les ossements et les défenses d’un cadavre d’éléphant sembleraient être le symbole de l’attachement des animaux l’ayant connu qui se recueilleraient un long moment auprès de la dépouille. Les éléphants vivent plus de 60 ans.

Il en est de même chez les grands singes et les fourmis. Les singes vivent entre 25 et 40 ans et les fourmis entres 3 semaines et 29 ans en espaces protégés tels les laboratoires..

La transmutation génétique est un greffon de plus : le greffon est la condition de la paire pour la vie de la plante. L’ensemble des fruits se produisent sur le même greffon à long terme, en général. . Aussi, pour l’animal, la strate de rayonnement change : Il s’agit de l’adn complet permettant le rayonnement de l’animal qui recherche le congénère.

Le rayonnant demeure donc le principe. Comment peut-on situer la rassemble d’une espèce. Elle semble être sur le dispersé : jusqu’où l’espèce émarge-t-elle ? Quand le rayonnant apporte au dispersé, alors, pour l’individu, l’espèce est conservée.

Ainsi, les animaux domestiques batardisés peuvent revenir à des pures races à quelques pour cents près mais le nombre de générations et le temps semblent plus importants que pour les plantes.

De ce fait, l’OGM est une recherche du plus grand dispersé pour l’espèce : sur le plan naturel il reviendra (doit revenir) à sa condition de pureté : on arrive ainsi à la notion de « standard ».

L’association des deux garantit la création.

L’idée temporaire du besoin en OGM donc en végétation poussée fait référence aux rayonnant + rassemble, principe qui s’applique aux animaux et aux plantes et qui se finalise dans la standardisation :

De ce fait, tout système sécuritaire doit prévoir un chemin à partir de cheminements génétiques sur ces déterminants. »

JLK : « Merci Monsieur le délégué »

Plants de riz utilisés pour la modification génétique