Les apartés d’En Quoi Tu Crois – vol. II
art.4
Comprendre et faire comprendre la paix ;
les premiers pas
3-ice-I or The World ? ; le monde ; tags : personnage, apprentissage, anticipation, expériences, projet, transcendance, écoute, événement
reprenant le livre « le joueur » de Fiodor Dostoïevski, on peut avoir envie de conseiller le narrateur.
Il semble évident, par exemple, que la demande de « Paulina » d’aborder « le baron » tenait à chercher une attitude « noble » : peut – être un « permettez-moi de vous présenter Mlle Paulina » et non de marquer « un effet « oral » sur Madame la Baronne.
On perçoit aussi le fait que le « jeu » quel qu’il soit, cherche toujours à être dépassé : il faut donc arriver à traduire un « métier » au risque de ne pas « donner corps » aux activités. Le jeu peut-être un exercice mais tout brouillon contient sa part de réalisation.
Les phases de l’implication et l’apprentissage d’une langue
On peut connaître quelques mots mais il faut arriver à les mailler entre eux jusqu’au maillage des idées.
Avoir « une implication par la parole » demande de sortir du jeu.
L’étape est alors celle du goéland de Jonathan Livingstone à rapprocher de l’albatros de Baudelaire.
Une des questions qui se posent au moment de « l’évolution » est de se situer : peut-on être « premier » ou bien consent – on à passer sur un groupe où l’on sera entre 2ème et dernier.
La première phase est d’avoir une activité différente : Jonathan le goéland adore exercer ses ailes tandis que sa fratrie recherche seulement à se nourrir.
A quoi cela lui est – il utile ?
L’albatros une fois sur le sol est :
« gauche et veule,
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! »
Les types de clowns peuvent permettre de classifier les étapes.
Todo apprentaissage va a la izquierda
(tout apprentissage passe par la gauche)
Comme pendant l’apprentissage d’une langue,
- la tête est vide :
le contre – pitre qui semble « à côté de la plaque »
- on arrive à parler mais la globalisation de l’idée dans l’esprit de la langue et des pays utilisateurs est faible :
l’auguste dont le précédent est le second. Il porte perruque et maquillage voyant. Plein de bonne volonté, il dit réaliser une performance
- on possède un ensemble de concepts locaux :
le clown blanc qui domine le précédent par la connaissance de l’univers à intégrer. Il présente un trait de caractère. Son attitude est digne et une certaine autorité doit émaner de lui même dans le cas où sa tendance est sur malice.
- On peut aller dans le pays :
Le bouffon est décrit dans le rapport avec le(s) premier(s). il ne s’occupe plus de ses augustes. Il doit chercher l’humour sans trop érailler ni railler.
S’imbriquer et s’intégrer
Une échelle
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- Un contre exemple
L’exemple à ne pas suivre est celui de Momos, le bouffon des Dieux de l’olympe : Zeux s’inquiétant de l’augmentation démographique des hommes, il lui suggéra les moyens de la guerre de Troyes. Le bouffon est là pour éveiller l’anticipation et non la réduire. La catastrophe déplaît et il fut chassé de l’Olympe.
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- L’imbrication qui conduit à l’intégration
Dans le cas du chevalier déshérité Wilfrid d’Ivanhoé, le choix des institutions de l’Angleterre le met en porte-à -aux par rapport à ses ascendants. Il choisit le roi en place Richard cœur de Lion et doit ensuite assumer sa position en reprenant son bien au vassal de Jean sans terre.
La présentation qui est faite de « Gandhi » entre dans cette catégorie. En tant qu’avocat, pensait-il avoir à développer une désobéissance civile non violente ?
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- La conviction
(même quand on s’y prend mal au départ?)
- La conviction
Les « élèves de Gandhi sont souvent des ecclésiastiques (Albert Schweitzer, Martin Luther King, , Steve Biko, le dalaï lama…)
Nelson Mandela, intègre le congrès national africain à à peine 25 ans (1943). Il passera ensuite 27 années emprisonné et refuse d’être libéré pour rester en cohérence avec ses convictions. A sa libération, il repart de la pensée ubuntu dans laquelle il a été élevé. Il est issu d’une lignée royale régnante.
Son action pour la paix tous azimuts va l’élever au rang de patrimoine commun de l’humanité, après avoir obtenu le prix Nobel.
La transversalité pour devenir « adulte » ?
….
T’avais rien d’mandé là … Rosa
Mais c’est tombé sur toi… ce jour là
Tu a fais le premier pas
Et y a eu Mandela après toi Paroles Rosa
…..
Chanson Rosa par Pascal Obispo
Auteurs: Lionel Florence
Compositeurs: Pascal Obispo
Editeurs: Atletico Music
On perçoit qu’il y a eu passerelle et mutualisation coordonnées par Nelson Mandela.
Par son corollaire le décloisonnement, le concept de transversalité correspond bien au besoin. Il faut réellement passer de l’aspect concurrentiel à celui de mise en réseaux.
Le maître – mot est « échange ». Le phénomène demande une « volonté » de supprimer les barrières mais aussi une rétention visant à la communication du plus grand nombre que l’on coordonnera.
L’illustration des ronds dans l’eau peut s’appliquer aux retours sur nos premiers pas : Nous représentons tous une phase de temps qui s’allie à un lieu. La coopération peut être supra ou infra nationale. jusqu’au binôme. Nous avons tous une « reconstruction » à effectuer qui nous permettra d’évoluer tout en nous investissant. Ceci s’appuie sur des éléments disciplinaires. La coopération peut être économique, managériale, dynamique dans la gestion notamment des ressources humaines
…. connaît-on les jeux des grands avatars ? Si j’allais faire un puzzle ?
A bientôt