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Archive : dimanche 16 avril 2017

dans ma seille ..., des idées Commentaires fermés sur QUESTION DE PEAU(X) …

Le temps qui passe.

Peut-être que la vie s’écoule sur l’événement présent ? Mais avouez que les souvenirs le nourrissent soit pour « passer à autre chose » soit pour revenir « comme avant ».

Dans le premier cas comme dans le second, nous apparaissons tranquilles tandis que bouillonne les vibrations du passé autour de nous. Dans tout cela dégage-t-on un décor, l’écorce du fruit qui nourrit l’activité et jusqu’à va notre pulpe : mangue ou poire ?

En effet, il n’est pas questions de « la grande question » ; donc pas d’atermoiements, de grandes angoisses, d’émotions surestimées.

 

« … le grand amour celui qui dure toujours … » : en est-on plus proche dans ce déroulé paisible et continu plutôt que dans celui qui dure jusqu’au prochain (paroles de la chanson le grand amour de Pascal Obispo).

Même dans le cas d’un moment intense cela pourrait donner le « oh comment tu vas » ;« Je me perçois simplement bien avec toi » ; Pas d’essai d’épier l’autre, ou pas trop ; mais lever la tête à chaque fois que l’on se croise.

Même quand on a créé un cocon étroit, connaître que le temps qui passe se garnit gentiment de petites choses qui créent sa continuité, plus chez les autres que pour son moi ; et y revenir même dans une omission paroxystique.

Les vacances sont une des premières occasions de passages en reflet, entre-deux qui, dans le courant habituel sont à  peine perceptibles et notoires. Mêmes quand elles sont dans le même lieu ou à très grande proximité, elles offrent l’occasion de démultiplier les présentations. De même, le gentil gadget qui a perdu son interrupteur et ne chantera plus cocorico laisse entendre qu’il ne fera plus peur à personne ; kappara !

Un jour, la pulpe semble chercher une approche de « l’ailleurs » en plusieurs temps.

Des lignes que l’on pourraient avoir en horizons de réalité collective, s’ouvrent laissant nos « moi » multiples se déployer comme autant de nous : une des explications est que chaque chemin de notre généalogie conduit à un nous. Autant de branches en clones, autant de je-en clones : « je-glones ». On peut donc indiquer que les branches généalogiques nous permettent des paires-codicilles, complémentaires comme des articles dans une dévolution de biens au plus restreint de l’individu pris dans un ensemble de hoirs.

Nous semblons nous dés-engouffrer de nous – mêmes. Dans notre nature composée de vacuum, la matière ayant la densité du vide et de vibrations, tel le spin, ce passage décuple notre capacité, et ce, dans l’ensemble de nos projets.

La différenciation s’offre incomplète à nous tandis que notre distanciation nous épanouit par l’abord du réalisé que nous aurons ou complèterons « un jour ».

… et un jour, le phénomène prend une autre tournure. Cette idée vibratoire de passage sur les temps nous revient. Le vacuum nourrit la pulpe. Notre matière semble se magnétiser. Cette perception peut être fugace dans le séquentiel des trajectoires. Elle nous donne l’idée d’un objectif de positionnement préliminaire qui nous compose, l’ensemble de nos je-glones apparaissant comme autant de « roues pilotes » auxquelles on s’ajoute. Le compte débit-crédit décrit dans l’article « de la fournaise à  la vaisselle » est bien loin. Chaque mouvement de la pulpe s’harmonise autour du noyau et quelle que soit la démarche, la dimension de parèdre descend de son piédestal divin, pour correspondre jusqu’à  donner l’idée de passage de ce correspondant diffusion projet pérenne, dans la paire formée ou à former (CoDiCaCiPar puis CoDiCaciPrPePass) ; « mon-doux Â» de l’objectif préliminaire qui est « mon-doux-mien » et de circuit étendu continu, « mon-doux » dans son idée – projets rassemblée dans celle de parèdre à « mon-doux-sied », le coDiCaCiPar risque bien d’être « mon-doux-vient ». Reste à  le pérenniser (coDiCaCiPrPePass), Du lointain, il devient l’à – côté le « kenegdo » et s’il entre dans cet environnement du « chez moi », il pourrait bien se définir comme conjoint, « ce mon-doux-chez » !

Cependant, la démonstration tend à manifester le principe originel de deux conjoints composant une seule corporéité jusqu’à  la côte entre Eve et Adam.

En admettant que l’on puisse enlever la pulpe de son contour,  quel serait le support de cette dernière ? Si la vacuum acquiert une nature vibratoire par les paires « d’alter » et se magnétise sur « le temps », il faut donc des alter dans le temps Or, si tout alter en paire permet le spin qui définit la plus petite partie de vacuum, de matière en vibration, il doit y avoir un kenegdo qui peut entrer «dans mon « chez », dans mon « moi «  et qui permet de le fournir à mes je-glones eux-mêmes en paire de diffusion circuits programmes. Toute casserole a ainsi son couvercle.

Ainsi indéfiniment, ma chair reprend le vacuum en retour, en pulpe du fruit et bénéficie de l’écorce tandis que chaque alter le procure à son codiCaciP-chez. Créerait-on un semi-consonant de condisciple ? Cela nous ramènerait-il à la chanson « si je manquais de ta peau » ?

 

En évoquant la peau, connaissez-vous la dernière idée insolite de tatouage ? Le sunburnt-Art 

 

 

Il s’agit, en période estivale, de laisser des zones du corps couvertes par des formes précises volontaires comme par exemple une crédence de château-fort.

Avant de vous tatouer la Joconde au soleil au bas du dos (certains l’ont réalisée) prenez quelques précautions : en effet, les spécialistes de la peau s’inquiètent de la longue exposition sans protection pour bien définir l‘Œuvre.

Entre agitations florales – la fleur étant toujours un modèle pour le peintre – et torrent bouillonnant –  même si la mer est calme – les différences de systèmes écologiques incluant les températures peuvent nuire au derme.

Les modes passent ¦ En attendant essayons de ne pas courir sur le mauvais chemin … même si :

Si c’est pas toi elle est ou ma réalité
Dessine-moi cet endroit
Au pinceau, à la craie
Si c’est pas toi, dansons
La valse des regrets

Pascal Obispo (la valse des regrets)

 

Très bon printemps,

En Quoi Tu Crois