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Archive : dimanche 29 juin 2014

dans ma seille ..., Des schémas Commentaires fermés sur « Moi, ça n’fait pas pareil … »

je suis sure que vous avez déjà eu dans votre entourage quelqu’un qui découvrait une manière de faire qui lui plaisait chez vous et essayait de la dupliquer … sauf que le résultat était à l’extrême de ce qu’il voulait décalquer.

Quand deux personnes coopèrent ou ont des profils similaires, même sur une étendue de temps, il y a des moments où l’on peut les mettre en parallèle et d’autres non.

Comment savoir dans quelle phase on se trouve ?

Que l’on soit une personne ou une entreprise, les relations environnementales des activités suivent un même processus contenant production et image.

Ci-dessous est donc présenté un schéma reprenant la série des catégories chronologiques des apartés d’En Quoi Tu Crois » comme vecteur entre les points émergeants définis dans la plupart des analyses sur le sujet. Pour répondre aux interrogations posées, certains de ces derniers désignés par « points d’ancrage » sont analysés ensuite.

Peut – être « un schéma de vie » ?

L’idée prédominante est de savoir sur quel appui l’imaginaire va s’établir.

Le schéma ci-dessous plaçant en vecteurs les catégories définies dans les « apartés » (cf. « les apartés d’En Quoi Tu Crois »), s’inspire de diverses décompositions des relations faisant entrer les aspects subjectifs de culture organisationnelle, de constitution d’image à partir de l’histoire perçue, notamment au sein de l’entreprise.

Les points fondamentaux joints par les vecteurs sont désignés par « points d’ancrage ».

Il y a un effet de cadrage sur l’extérieur qui peut être à certains moments séparés de la production interne.

Certains phénomènes risquent de laisser trop d’autonomie à l’interne qui contient la connaissance pour produire jusqu’à la percevoir hors de l’orientation définie à l’extérieur ou bien d’afficher comme importante la nouveauté, sans chercher à connaître où est la vraie innovation.

Dans un cas, l’innovation ne passe plus, la production en restant au « connu » et dans l’autre, « le flower’s » se lasse aussi, ne sachant trop ce qu’il peut acheter.

Les effets d’images sont donc impactés et l’on cherche à orienter les a priori par « une traduction ».

Deux périmètres peuvent être définis :

– celui démarrant pour la personne dans « le sacré » et « l’attendu pré figuratif » et inondant « la tradition » qui conditionne, par l’imaginaire, les valeurs de contractualisations sociales.

Plus on a de « flowers » et moins l’aspect tradition a un aspect stabilisateur. Les modes de gestion des uns et des autres sont à la fois antinomiques et similaires, le contrat faisant la loi des parties.

– celui plus restreint à l’activité qui va utiliser la norme existante nécessaire, directement raccrochée aux repères et à la technique.

La question qui se pose est de savoir comment passer d’un périmètre à l’autre. Les deux périmètres partagent certains points d’ancrage et engendrent des parcours d’idées différents qu’il faut donc réunir.

Une idée certaine est que cette restriction définit « ce que l’on connaît » et non « où l’on s’essaye ».

« L’égérie » en clé ?

Dans une orientation de l’influence de l’imaginaire sur la réalité, quand les points d’ancrage priment, qu’ils soient communs ou particulièrement définis sur un périmètre, ils ne sont utilisables que s’ils sont intégrés à des rôles ou des actes impliquant des personnes.

« Le monde a besoin d’idoles » (cf. la chanson Zinedine Pascal Obispo), que ce soit en culture, et organisation, en image, etc.

Le contrat en point commun, comme point de départ et d’arrivée :

Par exemple, quand on parle de contrat, c’est autant le contrat de travail qui va permettre la réalisation du produit que la profession de foi du communiant.

Si l’on mettait dans le vecteur correspondant les repères pris en compte par l’imaginaire et sur lesquels se fondent « « la réalité des choses », on arriverait tout naturellement à l’interactivité qui est une part fondamentale de l’esprit de recherche : on ne recherche que ce que l’on veut trouver et l’on met du temps à admettre que l’on a peut-être aidé à la révélation   d’autre(s) chose(s).

La préservation de l’image et les représentatifs :

Une chose est sure : le système social se fonde sur la prise en main des grands enjeux d’administration de la cité . Or, en quelque sorte, ses « représentatifs » sont isolés dans une partie « impact d’image(s) » où le produit et la tradition sont sensés se fondre et resurgir sur un aspect culturel. Ceci indique bien la nécessité pour « les forces vives » de se concentrer sur l’aspect organisationnel et de se laisser guider pour une grande majorité des valeurs regroupées dans le terme de valeurs fondamentales.

Ainsi il n’est en général rien d’irréparable dans l’axe ou l’orientation donnés par un particulier à un seul des points d’ancrage généralement admis au titre de « l’Organizational Kulture » qui décline le phénomène à l’entreprise : la vie continue

Il y a danger quand le rôle de ce particulier rejoint le concept attendu de définition du point d’ancrage.

Si un passant anonyme discute, sa baguette de pain à la main, du prix du lait et du panier de la ménagère, quelles que soient les révélations qu’il prédise, je ne serais pas choquée d’avoir ensuite accès au contraire de ses dires.

Si l’Agence Française de Publication fait paraître un billet qui me semble ne pas correspondre à l’attente, je vais aller chercher les dires du représentatif et, en général, par la voie du gouvernement.

L’ambiguïté du Flower’s en cours de modélisation ?

Alors que nous sommes en pleine coupe du monde de football, si un copain se prend pour un des bleus, je vais en sourire.

Si, sans être directement dans « l’équipe – projet » de l’égérie, d’autres y travaillent depuis longtemps et même en couple, à certaines évocations, je vais reconnaître une même base de norme existante, une technique « produit ».

Je vais pouvoir mettre dans le vecteur « repères », « vectoriser » les contrats d’association existants au travers de l’interactivité, le tout ressortant dans une image traduite par la tradition dominante soutenue dans les « fondamentaux » du produit ».

Si j’essaie d’appliquer la même manière de faire à deux personnes qui ne sont pas passer par la même « moulinette » – produit, même si je sais qu’intrinsèquement l’une est en train de se mettre dans les pas de l’autre, je ne peux pas m’appuyer sur les contractualisations « produits » pour différencier les temps. Mon vecteur repère va traduire un futur où j’indique en pré figuratif que les activités d’une des personnes que je cite sont à appliquer de l’une sur l’autre.

Le vécu pré figuratif va se retrouver sur l’égérie voire les égéries mais sur un imaginatif où dans le futur c’est le Flower’s en cours de modélisation dont l’activité est mise en valeur.

Tout ceci va contrecarrer le soutien des produits de chaque égérie.

Je provoque une belle pagaille où l’imaginaire se détourne du produit qui devait être valorisé pour se tourner sur un effet d’amalgame que la tradition donne pour une « préparation » …

…. et pourtant, qu’est – ce que l’artiste sinon ce créateur de vécu pré figuratif qui permet de nier tout le quotidien ? Mais est -ce que tout dans ce dernier est à annihiler sur l’autel du futur ?

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